La chapelle de Longchamps devient église paroissiale (Waremme)

Le 12 novembre 1925, un Arrêté-Royal reconnaît la chapelle de Longchamps comme église paroissiale. C’est l’abbé RIGO, vicaire de Waremme, qui sera désigné pour administrer cette nouvelle paroisse.

Cette nouvelle paroisse va desservir un territoire limité au Nord par le chemin de fer, à l’Ouest par les communes de Grand-Axhe et de Berloz, au Sud par la chaussée Romaine et à l’Est par la rue de Saive (qui deviendra plus tard la rue de Huy). Selon qu’ils habitent le côté gauche ou le côté droit de cette rue, les Waremmiens dépendent de la Paroisse Saint-Pierre ou de la Paroisse Saint-Michel.

L’Hôtel de la Station (Waremme)

Vers 1924, « l’Hôtel moderne », également appelé « Hôtel de la Station », se trouve au coin de la rue de la Station (qui deviendra l’Avenue Reine Astrid) et de la Place de la Station (qui deviendra Place Ernest Rongvaux) à Waremme,.

Au rez-de-chaussée, le même bâtiment abrite une succursale de la « Banque Agricole » et un café (qui sera exploité par Monsieur AERTS puis par RENIER Théo).

Le magasin Delhaize déménage (Waremme)

En 1921, le magasin « Delhaize », qui était installé au coin de la rue du Marché et de la Place de l’Eglise à Waremme depuis 1912, déménage dans un immeuble que le groupe a acheté au coin de la rue Joseph Wauters et de la rue Charles Lejeune.

Le gérant, Monsieur GERARD se retire et est remplacé par BOYEN Louise, l’épouse de MARCHOUL Guillaume.

Les Allemands imposent leurs règles à Waremme

Le 18 mai 1915, le commandant de l’Ortskommandantur de Waremme, BERG, décide qu’à partir de ce jour la circulation dans les rues ne sera permise qu’entre cinq heures du matin et onze heures du soir, mais les cafés seront fermés à dix heure du soir.

De nouvelles rues (Waremme)

En 1914, après le nivellement des remparts de Waremme, l’artère allant de la Porte de Liège à la rue du Baloir est appelée avenue des Tilleuls. Plus tard, elle sera prolongée et portera le nom d’avenue Guillaume Joachim. Une autre artère, allant de la Porte de Liège vers la Porte de Saint-Trond est appelées avenue des Platanes. Elle sera plus tard appelée avenue Henri Monjoie.

Ces artères ne sont encore que de larges bandes de terre enherbées, où paissent quelques animaux et où jouent les enfants.

La rue de Huy, au-delà du Viaduc (Waremme)

En août 1914, au-delà du viaduc de la rue de Huy à Waremme, il n’existe pratiquement alors aucune construction. La rue est bordée de noyers. Ils seront abattus par les Allemands pour alimenter en bois leurs fabriques de fusils.

L’imprimerie « Fraipont-Renard » (Waremme)

En octobre 1913, l’imprimerie-librairie « Ad. Fraipont-Renard » est située au n° 18 de la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters). C’est le troisième immeuble à partir de l’angle de la Place de l’Ecole Moyenne, vers la Place de la Gendarmerie.

A l’étage de cet immeuble se trouvent les bureaux du « Journal de Waremme ».

Création d’un chemin de jonction à Waremme

Le 26 mai 1904, Mademoiselle DE LAFONTAINE Alice, autorise la commune de Waremme à prélever gratuitement sur son terrain de la rue de la Centrale (qui deviendra plus tard la rue Gustave Renier), les terres nécessaires au remblai du chemin de jonction entre la route de Celles et la rue de Huy. Ce chemin s’appellera plus tard, rue Stanislas Fleussu.

Des courses hippiques à Waremme

Depuis la fin du 19ème siècle, jusqu’au début des années 30, des courses hippiques se déroulent chaque année dans une vaste prairie appartenant au Baron DE LAFONTAINE, située, d’une part, entre les actuelles rue Gustave Renier et avenue Emile Vandervelde et, d’autre part, entre la rue Ernest Malvoz et l’avenue Guillaume Joachim.

Ces courses, dotées de 2.000 francs de prix, acquièrent une renommée certaine. Des tribunes abritent les « élégantes » de Waremme. La compétition s’agrémente d’un concours d’attelages et d’un défilé d’automobiles.

La droguerie « Au Mortier d’Or » (Waremme)

En 1901, la « Droguerie du Mortier d’Or » est installée au coin de la rue du Baloir et de la rue de Huy à Waremme (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters). (A cet emplacement s’installera plus tard la boutique de vêtements « Impulsion »).

La droguerie est exploitée par HERALY Jules.