La rue des Boulevards (Waremme)

En 1900, il y a à Waremme la rue des Boulevards. Elle portera, plus tard, le nom d’Avenue Henri Monjoie.

Anne-Marie Stiernet, épicière (Waremme)

A la fin du 19ème siècle, STIERNET Anne-Marie, épouse GOVAERTS, cousine de l’écrivain waremmien, STIERNET Hubert, exploite une petite épicerie dans la dernière maison de la rue du Pont à Waremme (qui deviendra plus tard la rue Hubert Stiernet), séparée de l’ancien corps de garde par un jardinet.

La rue de Faimes à Waremme

En 1890, la rue de Faimes (qui deviendra la rue de Huy), au-delà du viaduc du chemin de fer, est bordée de noyers.

La Gare sera reliée au centre de Waremme

Avant 1870, le début de la rue de Huy (qui deviendra par la suite la rue Joseph Wauters) est un simple sentier. Son aménagement reliera directement la ville au pied de la rue de la Station (qui deviendra l’avenue Reine Astrid).

La rue de la Station sera élargie (Waremme)

Le 12 mai 1869, le conseil communal de Waremme décide de porter la largeur de la rue de la Station (qui deviendra l’avenue Reine Astrid) à 13 mètres 50.

La « Maison du Tonnelier » (Waremme)

Le 2 octobre 1867, le tonnelier SCHALENBORG Gérard achète la maison située au n° 79 de la rue du Pont (actuelle rue Hubert Stiernet). Cette maison servira de cadre à l’ouvrage de STIERNET Hubert « Le Roman du Tonnelier.

Waremme entreprend de grands travaux

Entre 1863 et 1866, la ville de Waremme entreprend divers travaux d’aménagement : des empierrements de chemins extérieurs (pour 11.000 francs), un repavage à peu près complet des chemins intérieurs (pour 25.000 francs), la construction d’un pont sur le Geer et le comblement de l’abreuvoir (pour 12.000 francs), la construction d’un pont à Mouhin (pour 780 francs) et des travaux d’éclairage de la ville (pour 1.000 francs).

Les rues sont des « égouts à ciel ouvert » (Waremme)

En 1866, de nombreux habitants de Waremme se plaignent, auprès des autorités communales, de l’insalubrité des rigoles, remplies de boue et d’immondices, dans les rues de Huy (qui deviendra rue Joseph Wauters), de la Station (qui deviendra l’avenue Reine Astrid) et du Moulin. Ils déclarent que se sont de véritables cloaques qui exhalent des miasmes fétides.

Les demoiselles Vliegen de Waremme

En 1866, les demoiselles VLIEGEN sont propriétaires d’un vaste ensemble formé de deux gros immeubles et de grands jardins s’étendant entre les numéros 39 et 45 de la rue de Huy (qui deviendra rue Joseph Wauters) et les remparts.

Naissance d’Hubert Stiernet (Waremme)

STIERNET Hubert

Le 5 juillet 1863, STIERNET Hubert voit le jour à Waremme, dans la rue du Pont, qui portera plus tard son nom. Il sera écrivain. Une plaque commémorative est apposée sur sa maison natale.