Mort de Hyacinthe Cartuyvels (Ligney – Liège)

Le 18 janvier 1890, CARTUYVELS Hyacinthe-Maurice décède à Liège. Il était natif de Ligney. Il était veuf de LOCHTMANS Caroline-Rosalie. Il a été membre du Congrès National. Il a été président de la Cour d’Appel de Liège.

Naissance de Hyacinthe Cartuyvels (Ligney)

Le 22 septembre 1805, CARTUYVELS Hyacinthe-Maurice voit le jour à Ligney. Il épousera LOCHTMANS Caroline-Rosalie. Il sera membre du Congrès National. Il sera président de la Cour d’Appel de Liège.

Les premières élections belges

En octobre 1830, les premières élections sont organisées en Belgique. Sur une population de 3.900.000 Belges, 44.000 iront aux urnes (dont 21 à Hollogne-sur-Geer).

Naissance de Henri Louwette (Oreye)

Le 6 juillet 1889, LOUWETTE Henri voit le jour à Oreye. Ses parents sont LOUWETTE Hubert-Joseph et DUPAIN Marie-Catherine. Il combattra durant la Première Guerre Mondiale et sera gravement blessé. Il sera directeur aux greffes de la Chambre à Bruxelles..

Les électeurs de Waremme pour le Parlement

En 1842, il y a 547 électeurs pour les Chambres, dans l’Arrondissement de Waremme.

Le chant des Wallons

Le 23 juillet 1998, par décret, le Parlement Wallon reconnait officiellement le « Chant des Wallons » (Li Tchant des Walons) comme hymne de la Wallonie.

Les paroles sont de BOVY Théophile et la musique de HILLIER Louis.

Version française officielle

Nous sommes fiers de notre Wallonie – Le monde entier admire ses enfants – Au premier rang brille son industrie – Et dans les arts on l’apprécie autant – Bien que petit, notre pays surpasse – Par ses savants de plus grandes nations – Et nous voulons des libertés en masse – Voilà pourquoi on est fier d’être Wallons.

Entre Wallons, toujours on fraternise – Dans le malheur, on aime s’entraider – On fait le bien sans jamais qu’on le dise – En s’efforçant de le tenir caché – La charité visitant la chaumière – S’y prend le soir avec cent précautions – On donne peu, mais c’est d’un coeur sincère – Voilà pourquoi l’on est fier d’être Wallons.

Petit pays, c’est pour ta grandeur d’âme – Que nous t’aimons, sans trop le proclamer – Notre oeil se voile aussitôt qu’on te blâme – Et notre coeur est prêt à se briser – Ne craint jamais les coups de l’adversaire – De tes enfants les bras te défendront – Il ne faut pas braver notre colère – Voilà pourquoi l’on est fier d’être Wallons.

 

Version en wallon liégeois

Nos-èstans firs di nosse pitite patrèye – Ca lâdje èt long, on djâse di sès-èfants – Â prumi rang on l’mèt’ po l’industrèye – Et d’vins lès-ârts èle riglatih ot’tant – Nosse tére èst p’tite, mins nos-avans l’ritchèsse – Dès-omes sincieûs qu’anôblihèt leû nom – Et nos-avans dès libèrtés timpèsse – Vola poqwè qu’on-z-èst fir d’èsse Walon.

On s’eût vol’tî inte frés dèl Walon’rèye – Et l’on-z-èst prêt’onk l’aûte a s’diner l’main – On s’fait plaisir bin sovint sis qu’on l’dèye – Nouk ni s’hâgnêye qwand c’èst qu’i vout fé l’bin – Li tcharîté qui mousse èl mohinète – N’î va qu’al nut’ avou mèye précôcions – Li pô qu’on done on nèl donne qu’è catchète – Vola porqwè qu’on-z-èst fir d’èsse Walon.

Pitit payîs, vos qu’a tant d’grandeûr d’âme – Nos v’s-inmans bin, sins qu’nos l’brèyanse tot haut – Qwand on v’kidjâse, as-oûy montèt nos lâmes – Et nos sintans nosse coûr bate a gros côps – N’âyiz nole sogne èt vikèse è liyèsse – Di vos èfants lès brès èt l’coûr sont bons – Et nos avans lès dj’vès fwèrt près dèl tièsse – Vola porqwè qu’on-z-èst fir d’èsse Walon.

Le drapeau wallon

En 1913, l’Assemblée wallonne choisit le thème du drapeau wallon: un coq hardi rouge sur fond jaune. Il a été réalisé par le peintre PAULUS Pierre.

Le drapeau wallon

Le 23 juillet 1998, par décret, le Parlement wallon confirme officiellement le choix du drapeau wallon: un coq hardi rouge sur fond jaune.

Jacques Chabot, député (Waremme – Belgique)

Le 9 novembre 2017, le bourgmestre de Waremme, CHABOT Jacques, âgé de 64 ans, remplace le bourgmestre de Liège, DEMEYER Willy, au Parlement Fédéral . Il a déjà été député à deux reprises, par le passé.

Nationalisation des biens de l’Eglise (France)

Le 2 novembre 1789, l’Assemblée Nationale française décide de nationaliser les biens du culte et de supprimer les Fabriques d’église.