En 1925, VON HINDERBURG Paul est nommé président de la république de Weimar, en Allemagne. Il remplace EBERT Friedrich. Il occupera cette fonction jusqu’en 1934.
Archives de catégorie : Président
L’église de Grand’Axhe Classée
Le 15 octobre 1986, le ministre-président de la Communauté française, BUSQUIN Philippe, prend la décision de classement de l’église de Grand’Axhe.
Opération « Bienvenue à Waremme »
Les 10, 11 et 12 juin 1988, une vaste opération de relations publiques appelée « Bienvenue à Waremme » est lancée par le ministre-président de l’exécutif régional wallon et bourgmestre de Waremme, COEME Guy. Elle vise à faire connaître la ville et ses potentialités économiques, notamment au travers de son zoning industriel.
Un chapiteau de 1.000 m2 abrite les stands de la vingtaine d’entreprises déjà installées dans le zoning.
Deux des personnes de contact de cette opération sont:
- GOUTERS André
- GUILLAUME Jacqueline
Adolphe Duchesne décoré (Waremme)
Le 22 février 1988, lors de la séance du conseil communal de Waremme, DUCHESNE Adolphe se voit remettre les Palmes d’Or de l’Ordre de la Couronne, par le ministre-président de la Région Wallonne, COEME Guy, pour 45 années d’activité dans le secteur de l’imprimerie.
DUCHESNE Adolphe a travaillé 4 ans aux « Imprimeries Renier » à Waremme et 41 ans aux « Imprimeries Liégeoises ».
Le Centre Libéral d’Action Scolaire (Waremme)
En mai 1985, le sénateur, COEN Jules, est le président du Centre Libéral d’Action Scolaire Edmond de Sélys-Longchamps.
Pierre Christiaens, Prince Carnaval (Waremme)
Le 3 mars 1985, CHRISTIAENS Pierre-Alain est intronisé Prince Carnaval de Waremme, sous le nom de « Pierre 1er ».
La cérémonie se déroule en la salle « Rigo », en présence de, notamment:
- LEBURTON Edmond, ministre d’Etat et bourgmestre de Waremme
- COEME Guy, député
- HANOT Rita, échevin
- CHABOT Jacques, échevin
- HUMBLET Léon, conseiller communal
- MEUREAU Robert, conseiller communal
- THOMAS José, conseiller communal
- CHOISIS Willy, conseiller communal
- HOUGARDY André, président du syndicat d’initiative
- …
Ingrid reçoit les clés de la ville (Waremme)
Le 5 mars 1983, le bourgmestre de Waremme, LEBURTON Edmond, remet les clés de la ville à Ingrid 1ère, la nouvelle Princesse Carnaval. Âgée de 18 ans, elle est étudiante en kinésithérapie.
Participent, notamment, à cette réception:
- COEME Guy, député-échevin
- COEN Jules, sénateur
- HANOT Rita, échevin
- CHABOT Jacques, échevin
- LEJEUNE, conseiller communal
- THOMAS, conseiller communal
- CHOISIS, conseiller communal
- VASAUNE, conseiller communal
- BROCKART, conseiller communal
- HERCKENS, conseiller communal
- MENTEN, conseiller communal
- SERVAIS Robert, secrétaire communal
- GOUTERS André, directeur du centre sportif et culturel
- THOMAS A., commandant des pompiers
- HOUGARDY André, président du syndicat d’initiative
Leburton s’exprime sur le « rapport Blumenthal » (Waremme – Belgique – Congo)
Le 24 novembre 1982, LEBURTON Edmond s’exprime sur le « rapport Blumenthal ».
A la question: « Quelle est votre attitude face aux allégations reprises dans le rapport Blumenthal ?
Je n’ai pas varié depuis le début, à savoir que j’oppose un démenti formel aux allégations contenues dans ce rapport. Je mets en cause sa probité intellectuelle.
Aux questions: « Quelles étaient vos relations avec le président MOBUTU alors que vous étiez Premier ministre ? Que sont devenues ces relations ?
C’est très simple, les mêmes que tout chef de gouvernement. Il n’y a pas une exception depuis lors et, auparavant, c’est en raison de ce qu’était le statut du Zaïre et du Congo belge. Tous ceux qui ont eu des responsabilités dans la vie de l’Etat ont eu des rapports avec le gouvernement de ce qui est devenu la République du Zaïre. Mon problème comme Premier ministre était très simple, c’était d’entretenir des relations normales avec ce pays qui était naguère colonisé et qui est devenu indépendant. Dans le respect de l’indépendance, j’ai eu, bien entendu, des relations avec les responsables du gouvernement.
Pour citer un exemple dont on ne parle pas: lorsque j’étais Premier ministre en 1973, j’ai négocié une commande particulièrement importante pour le barrage d’Inga. Des millions d’heures de travail pour les ACEC de Charleroi étaient en jeu. J’ai essayé d’obtenir et obtenu du président MOBUTU, que le marché soit confié aux ACEC, plutôt qu’à une entreprise étrangère. Avec le Premier ministre de l’époque, CARL I BOND N’Gusa, j’ai été reçu par une délégation des ACEC, pour me remercier de ce que j’avais fait. En dehors de cela, je conteste avoir reçu quoi que ce soit, parce que c’est indigne de ma personnalité. Je suis heureux d’avoir pu contribuer à la réalisation d’une opération importante pour les ACEC et pour l’économie wallonne.
A la question: « Vous êtes intervenu auprès du président MOBUTU pour obtenir la grâce de Monsieur CARL I BOND N’Gusa alors que celui-ci était condamné à mort. A quel titre êtes-vous intervenu ? Quelles étaient vos relations avec Monsieur CARL I BOND ?
C’est vrai, je suis intervenu, non pas une fois mais deux, en faveur de CARL I BOND N’Gusa, qui a été Premier ministre, afin qu’il ne soit pas exécuté. Le président MOBUTU disait qu’il avait été victime de la trahison de son Premier ministre. Je connais bien CARL I BOND N’Gusa. J’ai estimé qu’exécuter un Premier ministre était un acte grave. J’ai plaidé son cas, avec d’autres, et nous avons obtenu la clémence du président MOBUTU. CARL I BOND N’Gusa a été gracié et est redevenu Premier ministre de MOBUTU.
Je n’ai jamais rien demandé, pas même un centime ! Je n’ai jamais spéculé pour quoi que ce soit dans les affaires de Waremme ou d’ailleurs. Je m’insurge contre de telles affirmations.
Mais ce qui est plus grave, j’accuse MARTENS Wilfried d’avoir comploté contre un certain nombre de personnalités parce que lui-même a été de mèche avec CARL I BOND N’Gusa, pour des raisons qu’il ne m’intéresse pas de connaître. Mais il y a deux ou trois ans de cela, lorsque CARL I BOND N’Gusa était encore « persona grata », il a reçu MARTENS Wilfried à Kinshasa, en néerlandais, ce qui était assez exceptionnel de la part d’un zaïrois. De là sont nées des relations particulières. CARL I BOND a tenu à MARTENS des propos d’une telle bonne volonté que ce dernier s’est laissé séduire et a déclaré, un peu plus tard, « J’aime ce pays, j’aime ce peuple, j’aime ses dirigeants ».
Lorsque CARL I BOND a rompu avec le régime MOBUTU, il est venu en Belgique et a rencontré MARTENS. Ensemble, ils ont manigancé contre MOBUTU et ont demandé à BLUMENTHAL de faire un rapport dont une annexe comportait des accusations non fondées, irresponsables, ignobles, contre un certain nombre de personnalités, dont moi-même, en vue de discréditer MOBUTU. Il y a une évidente complicité entre MARTENS et CARL I BOND. D’autre part, j’accuse MARTENS Wilfried d’avoir utilisé scandaleusement ce rapport pour réaliser une bonne opération électorale.
Il y a actuellement plusieurs actions judiciaires en cours.
Leburton intervient en faveur de Carl I Bond (Waremme – Congo)
En 1977, LEBURTON Edmond intervient auprès du président zaïrois MOBUTU, pour obtenir sa clémence envers CARLI I BOND N’Gusa, ancien Premier ministre, récemment condamné à mort.
Il niera par la suite avoir perçu quoi que ce soit pour cette démarche.
Jules Coen présente son livre (Waremme)
Le 1er octobre 1982, le sénateur COEN Jules présente son livre « Michel-Edmond de Sélys-Longchamps, gentilhomme, savant et démocrate » au cours d’une réception qui se tient dans la grande salle du Conseil Communal de Waremme.
De nombreuse personnalités ont répondu à l’invitation:
- LEBURTON Edmond, bourgmestre de Waremme et ministre d’Etat
- LEEMANS W., président du Sénat
- DEFRAIGNE Jean, président de la Chambre des Représentants
- DAMSAUX André, président de l’Exécutif Régional Wallon
- REY Jean, ministre d’Etat, ancien président de la C.E.E.