Le 3 avril 2021, les habitants de Geer sont invités à déposer leurs déchets verts à la coopérative « BIOGAZ du Haut-Geer » pour la production d’énergie renouvelable sur le principe de la bio-méthanisation.
Archives de catégorie : Déchets
De nouvelles poubelles (Waremme)
Le 2 février 2014, le Conseil Communal de Waremme décide l’acquisition de 32 poubelles publiques, pour poursuivre la politique d’uniformisation du mobilier urbain.
Edouard Beeckeman, éboueur (Remicourt – Bergilers)
En 1948, BEECKEMAN Edouard, entrepreneur à Bergilers, ancien prisonnier de guerre, assure le service de ramassage des ordures ménagères à Remicourt.
Camion-benne à Remicourt
En 1947, la commune de Remicourt achète un camion-benne, dans un garage de Saint-Trond. Il sera mis à la disposition des habitants désireux d’évacuer des débris, gravats, … provenant de l’aménagement de leur demeure.
Enlèvement des ordures à Crisnée
Le 20 novembre 1957, un service bimestriel d’enlèvement des ordures et résidus des ménages est organisé à Crisnée.
Ouvriers licenciés (Waremme)
Le 24 mai 2019, deux ouvriers communaux waremmiens sont licenciés par l’échevin RIGOT Hervé, pour avoir déposé leurs ordures privées dans le conteneur de la Ville.
Le réseau d’égouts (Waremme)
En janvier 1951, le réseau d’égouts de Waremme s’étend:
- à la rue du Fond d’Or depuis la chaussée Romaine;
- à la rue de Liège depuis le Vicinal
- aux rues d’Oleye et Wérixhas
- à l’avenue Emile Vandervelde
Fin d’un dépôt d’immondices (Waremme)
En 1948, la commune de Waremme rachète une parcelle de terrain, située à la jonction de la rue Gustave Renier et de la rue Ernest Malvoz, pour éliminer le dépôt sauvage d’immondices qui s’y est constitué.
Le ramassage des ordures (Waremme)
En octobre 1947, un règlement communal de Waremme fixe à 80 francs par an le ramassage des ordures: un dépôt d’un bac de maximum 30 kilos par semaine.
L’hygiène à la fin du XIXème siècle (Waremme)
En 1895, l’hygiène est déplorable à Waremme. Il n’y a pas d’égouts pour collecter les eaux usées. Les immondices ne sont pas ramassées. Dans de telles conditions, des épidémies de fièvre typhoïde se développent régulièrement.