En 1970, il y a 120 logements inoccupés à Waremme.
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Rénovation d’habitations (Waremme)
En mars 2021, la Société « Le Home Waremmien » annonce le lancement prochain d’un vaste plan de rénovation de logements, pour améliorer leur salubrité et leur performance énergétique. 140 logements sont concernés. Les travaux, estimés à 6,5 millions d’euros, seront subsidiés à 75% par la Région Wallonne.
Ces logements sont situés:
- rue Walter Lucas à Waremme (16 appartements)
- place Léon Bolle à Hannut (8 appartements)
- rue des primevères à Waremme (12 appartements)
- avenue de Tunisie et rue des alouettes à Waremme (72 maisons)
- allée des Hortensias à Waremme (51 ?). Ces derniers logements feront l’objet d’un investissement complémentaire dans le cadre de l’opération « Pivert 2 »
Les Eburons près du Geer
Vers 51 ACN, des Eburons sont installés près du Geer, (dans la région où se trouvera plus tard Waremme). Ils occupent des villages de huttes. Ils érigent des pierres dressées (dolmens) et des autels de pierres destinés à l’exercice de leur culte.
La région est sillonnée par des meutes de loups, des ours et différents types de ruminants.
La ferme en carré de Celles
En 1663, la ferme en carré située à Celles (à l’endroit qui portera bien plus tard le nom de Place Joseph Wauters) appartient à DE NEUFCOURT Anne-Marie. Elle proviendrait de DE SELLE Catherine. La propriétaire y fait procéder à d’importantes restaurations rendues nécessaires par les dégâts causés par les Lorrains.
Les bâtiments se composent d’un logis en briques et pierres de Namur, qui comprend une salle pavée, une cuisine, une petite chambre derrière la cuisine, le tout blanchi et éclairé par des fenêtres à croisée, munies de vitres et de barreaux. Deux escaliers mènent à la cave et au grenier.
Viennent s’y ajouter:
- la demeure du censier près de l’entrée
- la « lavanderie »
- la « brassine avec fourt »
- deux étables
- un colombier
- une petite grange
- une grange avec une porte « joindante » à l’étable à vaches
- une étable à brebis
Les donjons et châteaux se transforment en habitations (Hesbaye)
A la fin du 15ème siècle, et surtout à partir du 16ème siècle, les propriétaires de donjons et châteaux en Hesbaye, qui ont perdu leur rôle de place militaire, privilégient la fonction d’habitation, avec un recherche de confort et d’élégance. Ils optent pour des baies plus grandes et des façades plus ouvragées.
Les donjons en Hesbaye
Au 12ème siècle, en Hesbaye, l’entrée des donjons est toujours surélevée. On y accède par une échelle ou un pont escamotable. Le premier étage est une pièce commune. Au niveau du sol se trouve une cave voûtée où sont entreposées les réserves. Elle n’a pas d’accès direct vers l’extérieur. Les murs de l’édifice sont épais (1m50 et plus), tandis que les ouvertures sont rares et réduites. Les dimensions varient fortement, en fonction de la richesse du seigneur du lieu. D’une manière générale, ces tours sont sombres et peu confortables. Parfois même, le seigneur ne dispose pas véritablement de pièces privées. A proximité de la tour se trouvent les dépendances agricoles et, dans certain cas, le logis habituel du châtelain qui, en dehors des périodes de danger, préfère une habitation moins austère.
La construction en Hesbaye
A partir de 476, à la chute de l’Empire Romain, l’art de bâtir en pierre disparaît progressivement en Hesbaye. Les nouvelles constructions seront faites de bois et de torchis.
Oreye en 1992
En 1992, la population du « Grand Oreye » s’élève à 3.200 habitants et le nombre d’habitations à +/- 1.000.
Crisnée en 1840
En 1840, il y a 77 maisons et 380 habitants à Crisnée. 5 maisons forment le hameau « Aux Croix ».
Crisnée en 1830
En 1830, il y a 336 habitants et 64 demeures à Crisnée:
- fermes: 9 (dont 4 grandes)
- maisons particulières: 10
- habitations rurales: 20
- cabanes: 25 (elles sont construites en bois et en argile, recouvertes de paille)