Les logements de Waremme en 1970

En 1970, 55,8% des logements de Waremme ont été construits après 1945 et 22,3% datent d’avant 1919.

Construction à Momalle

En 1935, un immeuble de style normand est construit au n° 66 de la rue de la Station, à Momalle.

Le « Complexe Tumulus » (Waremme)

En 1957, 40 nouvelles habitations sont achevée, à Waremme, par la section locale des « Sociétés Nationales de la Petite Propriété Terrienne » (PPT). Elles forment une partie du « Complexe Tumulus » (qui en comptera 180) qui sera situé entre la Plate Tombe et la rue de Huy.

Le réseau de voirie, d’égouts, d’eau, d’éclairage et de plantations est aménagé en même temps.

La Petite Propriété Terrienne (Waremme)

Vers 1932, une section locale des « Sociétés Nationales de la Petite Propriété Terrienne » (PPT) est constituée à Waremme.

La Maison Hesbignonne (Waremme)

En 1935, la S.A. « La Maison Hesbignonne » est une société de crédit pour habitations à bon marché. Elle est installée au n° 19 de la rue Joseph Wauters, à Waremme. Son numéro de téléphone est le 99.

Momelette vers 1835

Vers 1835, il y a 31 maisons à Momelette. La plupart sont bâties en briques et sont couvertes de paille (il y a très peu de toits d’ardoises ou de tuiles).

Momalle vers 1835

Vers 1835, il y a 159 maisons à Momalle. La plupart sont bâties en briques et sont couvertes de paille (il y a très peu de toits d’ardoises ou de tuiles).

Les Jardins de la Sucrerie (Remicourt)

les jardins de la sucrerie

les jardins de la sucrerie

En octobre 2016, la société « Thomas & Piron » annonce son projet de construire 22 maisons et 6 immeubles à appartements (48 appartements), sur un terrain de 2,5 hectares, situé entre la rue de Pousset, la rue Jules Mélotte et le Delhaize, à Remicourt. Ce nouveau quartier portera le nom « Les Jardins de la Sucrerie ».

Le prix moyen d’une petite maison, terrain et taxes compris, devrait s’élever à 200.000 euros.

Le gestionnaire du projet est VAN DEN HASELKAMP Gaëtan.

Journées du Patrimoine à Waremme

Les 10 et 11 septembre 2016, les 28èmes Journées du Patrimoine sont organisées à Waremme, sur le thème « 1900, la Belle Epoque ». Des expositions d’objets, de documents et de photos sont proposées en différents lieux de la ville. Des panneaux explicatifs et des guides éclairent les visiteurs sur différents sujets.

A la Bibliothèque Pierre Perret

Accès à l’eau

  • Le Geer et le paysage
  • L’hygiène
  • Les fontaines de Waremme
  • Les pompes publiques

Croyances populaires

  • Soigneurs et guérisseurs
  • Les saints protecteurs
  • Les « porte-bonheur »

 

A l’Eglise Saint-Pierre

Religion catholique

  • La paroisse
  • Les églises
  • Le petit patrimoine religieux
  • Les fêtes religieuses
  • La procession

 

A l’Hôtel de Ville

Physionomie de Waremme

  • Les remparts et le « Nouveau Quartier »
  • L’éclairage public
  • La démographie
  • L’architecture
  • Les Villas

 

A la Justice de Paix

Agriculture et vie quotidienne

  • Les techniques agricoles
  • L’agriculture à Waremme
  • L’organisation du travail
  • Le travail des enfants
  • Les fêtes agricoles
  • La pauvreté
  • La betterave

Industries et commerces

  • L’industrie du sucre
  • L’industrie agricole et la motorisation
  • Les moulins
  • Les industries de la boisson
  • Les petites industries et l’artisanat
  • Le commerce

 

A l’Institut Notre-Dame

Ecoles

  • L’enseignement officiel
  • L’enseignement libre
  • La vie scolaire au quotidien
  • L’éducation des adultes

 

Au Syndicat d’Initiative de Hesbaye

Loisirs

  • Les cafés
  • Les fêtes populaires
  • Les compétitions traditionnelles
  • Les jeux d’enfants
  • Les sports
  • Les arts

 

A la Poste

Moyens de communication

  • Le train
  • Le vicinal
  • La poste
  • Le téléphone
  • Les routes
  • « Comment se déplaçait-on au début du 20ème siècle »

 

Traité belgo-italien sur le charbon

Le 23 juin 1946, les gouvernements belge et italien signent le « Traité belgo-italien sur le charbon » (minatori/carbone), à Rome.

Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, l’Europe se relève péniblement des conséquences du conflit. Il faut faire face aux nombreux défis liés à l’économie. En Belgique, la main d’oeuvre manque. C’est pour répondre à ce besoin que ce traité est conclu.

Afin de gagner la « bataille du charbon », l’accord prévoit l’envoi de 50.000 travailleurs italiens dans les mines belges, contre la fourniture à l’Italie de plusieurs millions de tonnes de charbon annuelles.

La très grande majorité de ces travailleurs provient des régions déshéritées de la péninsule (Abruzzes, Pouilles, Sicile, Vénétie, …). Les conditions d’accueil (comme le logement) sont rudes pour ces immigrants. Les conditions de travail sont pénibles et conduiront à des drames.