Opération « Waremme, chouette et Nette »

Le 19 avril 2007, dans le cadre de l’opération « Waremme, Chouette et Nette », 800 étudiants, issus des écoles primaires et secondaires de Waremme, sillonnent la ville pour ramasser les déchets.

Une affiche électorale de Jacques Chabot sur un camion-poubelles (Waremme)

Le 29 avril 2003, un camion de ramassage des ordures circule au centre de Waremme avec une affiche électorale de CHABOT Jacques apposée sur un des flancs. Il s’agirait d’un débordement d’un colleur trop zèlé. L’affiche est rapidement retirée.

Les Waremmiens rétifs aux nouveaux sacs poubelles (Waremme)

Au début janvier 2002, les camions-poubelles qui sillonnent les rues de Waremme sont escortés par un combi de police, pour discipliner les Waremmiens qui rechignent à utiliser les nouveaux sacs poubelles, plus petits et plus chers que les précédents.

Les « poubelles » coûteront plus cher à Waremme

Le 8 octobre 2001, l’échevin de l’environnement de Waremme, MEUREAU Robert, annonce que les déchets coûteront plus cher aux Waremmiens : la taxe de 2.000 francs belges par ménage passera à 2.824 francs belges, tandis que le sac poubelle sera moins volumineux (60 litres au lieu de 100) et sera vendu plus cher.

Il y aura des sacs poubelles payants à Waremme

En janvier 1998, la commune de Waremme annonce que le sac poubelle payant sera rendu obligatoire au mois de mars. Selon les estimations, chaque Waremmien devrait payer environ 900 francs belges de plus par an pour le ramassage des ordures.

Création de la « poubelle » (France)

POUBELLE Eugène

Le 7 mars 1884, le préfet français, POUBELLE Eugène, prend un arrêté imposant dans toute la ville de Paris l’usage de « récipients communs à l’immeuble » destinés à recevoir les ordures ménagères. C’est la naissance des poubelles.

Les rues sont des « égouts à ciel ouvert » (Waremme)

En 1866, de nombreux habitants de Waremme se plaignent, auprès des autorités communales, de l’insalubrité des rigoles, remplies de boue et d’immondices, dans les rues de Huy (qui deviendra rue Joseph Wauters), de la Station (qui deviendra l’avenue Reine Astrid) et du Moulin. Ils déclarent que se sont de véritables cloaques qui exhalent des miasmes fétides.