En 1976, le prix des travaux de modification de la ventilation et de l’épuration de la piscine du Lycée de l’Etat à Crisnée s’élève à 2,5 millions de francs.
Ces travaux devraient permettre d’économiser 500.000 francs par an.
En 1976, le prix des travaux de modification de la ventilation et de l’épuration de la piscine du Lycée de l’Etat à Crisnée s’élève à 2,5 millions de francs.
Ces travaux devraient permettre d’économiser 500.000 francs par an.
En 1972, un nouveau devis estimatif pour la construction d’une piscine et d’une cafétéria au Lycée de l’Etat à Crisnée, est fixé à 21 millions de francs.
En 1959, les droits d’abattage perçus par la commune de Crisnée sont établis comme suit:
Le 14 janvier 1953, l’entretien des chemins empierrés étant couteux, le conseil communal de Crisnée décide la pose d’un revêtement plus efficace et durable.
Il charge l’architecte LONCIN Alphonse, d’Ans, du projet d’amélioration des chemins numéros 1 à 10, sur 7.650 mètres. Le revêtement sera en béton sur 5 mètres 50 de large, avec des bordures en saillie ou des rigoles en béton.
Le décompte final des travaux atteindra la somme de 9.983.000 francs, après obtention de subsides de l’Etat.
En 1951, le prix de l’eau alimentaire est fixé à Crisnée à:
Le 30 avril 1929, le tarif des billets d’autobus DEBIOLLE, d’Oreye à Hognoul, est augmenté de 10%.
Le 21 avril 1928, la commune de Crisnée achète, au charbonnage « Saint-Michel », 3 wagons de cendres à 130 francs/wagon, pour recouvrir les allées du cimetière agrandi. Le charriage sera effectué par les possesseurs de chevaux.
En mars 1916, la ration de pommes de terre à recevoir pour chaque ménage est de 300 grammes par jour et par personne, à Crisnée. Le prix des tubercules sera affiché au magasin.
Le 11 octobre 1914, les cultivateurs de Crisnée sont tenus de mettre à la disposition du bourgmestre 5 sacs de froment par hectare cultivé. La fourniture sera facturée au prix de 21 francs / 100 kilos. Le remboursement se fera après la guerre, sur les fonds communaux.
En 1906, VANDEBROECK Joseph se charge d’entretenir le nouveau cimetière de Crisnée agrandi, pour un salaire de 100 francs, pendant 3 ans. Il accepte également de creuser les fosses à raison de 3 francs l’unité.