Chute des prix agricoles en Hesbaye

A partir de 1875, les prix agricoles, et par corollaire les salaires, fléchissent en Hesbaye. Ils se mettront à baisser de plus en plus rapidement dès 1878, sous l’influence des importations massives de céréales d’outre-mer.

Le prix des betteraves (Hesbaye)

En 1998, le prix de la tonne de betteraves est d’environ:

  • pour le sucre A: 1.900 francs belges
  • pour le sucre B: 1.100 francs belges
  • pour le sucre C: 600 francs belges

Le prix de l’eau augmente (Waremme)

En 1953, le prix de l’eau est augmenté à Waremme, pour adapter le rendement aux charges financières de la distribution.

Le prix de l’eau (Waremme)

En 1957, le prix de l’eau, à Waremme, est fixé à:

  • un forfait de 280 francs pour 30 m3;
  • 7,50 francs le m3 de 30 à 1.500 m3;
  • 4 francs le m3 au-delà

La Hesbaye Ouvrière

En mai 1944, le premier numéro de la « Hesbaye Ouvrière » (organe de presse clandestin des Comités de Lutte Syndicale) est publié et vendu au prix de 1 franc.

Le garage Duchêne et Fils (Waremme)

En 1954, le garage « Duchêne et Fils » est installé au n° 40 de la rue de Sélys-Longchamps, à Waremme. Il vend des motos et des scooters. Il est concessionnaire des marques « Gillet », « Vespa », « Lion Rapide » et « Claeys ».

Il vend la nouvelle moto « Salira », 200 cc, au prix de 12.800 francs.

L’entreprise de charbon Pirlet-Pirotte (Remicourt)

En janvier 1941, l’entreprise de Charbons – Coke « Veuve J. PIRLET-PIROTTE » est installée à Remicourt.

Elle vend 1590 kilos de charbon à l’administration communale de Donceel, pour un montant de 670,80 francs.

Le salaire d’un ouvrier agricole vers 1840 (Waremme)

Vers 1840, un ouvrier agricole de la région de Waremme gagne 10 sous par jour et sa compagne 8 sous.

Le prix des denrées est le suivant:

  • un pain de froment de 1 kilo: 20 centimes
  • un pain de seigle de 1 kilo: 14 centimes
  • I kilo de viande de boeuf: 85 centimes
  • I kilo de viande de porc: 84 centimes
  • I kilo de pommes de terre: 3 centimes

Les Jardins de la Sucrerie (Remicourt)

les jardins de la sucrerie

les jardins de la sucrerie

En octobre 2016, la société « Thomas & Piron » annonce son projet de construire 22 maisons et 6 immeubles à appartements (48 appartements), sur un terrain de 2,5 hectares, situé entre la rue de Pousset, la rue Jules Mélotte et le Delhaize, à Remicourt. Ce nouveau quartier portera le nom « Les Jardins de la Sucrerie ».

Le prix moyen d’une petite maison, terrain et taxes compris, devrait s’élever à 200.000 euros.

Le gestionnaire du projet est VAN DEN HASELKAMP Gaëtan.