En avril 2015, le chantier de rénovation de la piscine de Waremme est entamé:
Le coût de ce chantier est évalué à 1,3 million d’euros, subsidié à hauteur de 1,1 million d’euros.
En mars 2016, les travaux d’aménagement, de la petite place située devant la bibliothèque « Pierre Perret », sont entrepris à waremme.
Ces aménagements consistent en:
Le coût de ces travaux est estimé à 120.000 euros, subsidié à hauteur de 57.000 euros.
En avril 2016, l’Agence de Développement Local (ADL) de Waremme présente le logo « W’ecom », représentant la diversité des commerces de la commune. La création de ce logo a coûté 4.000 euros.
En 1944, le terrassier de Waremme, LEGROS Philippe, qui habite à la rue du Pont, est chargé de creuser 29 tranchées le long des routes à grande circulation, situées sur le territoire de Waremme. Il est entouré d’une équipe d’ouvriers. Pour ces travaux, il sera payé 2.900 francs.
Ces travaux sont exigés par les Allemands. Les tranchées doivent servir d’abri aux troupes en mouvement, en cas d’attaque aérienne alliée.
Durant la Seconde Guerre Mondiale, un récepteur radio ou une bicyclette coûtent environ 5.500 francs. Pour mémoire, le salaire mensuel d’un ouvrier varie de 800 à 900 francs !
En février 2016, le conseil communal de Waremme vote, à l’unanimité, l’achat de panneaux rappelant les jumelages de la ville et les associations humanitaires qui existent sur son territoire (Lion’s Club, Rotary, …).
Ces panneaux seront installés aux entrées de la ville. Leur coût s’élève à 10.000 euros.
En février 2016, l’échevine VAN KEERBERGHEN Aurélie annonce une uniformisation du mobilier urbain de Waremme, avec l’achat de 32 poubelles publiques en acier galvanisé, de couleur gris anthracite, résistant au vandalisme, au feu, aux coups et aux griffes. Le coût total s’élève à 9.989, 76 euros, subsidié à 50% par la Région Wallonne.
En 1789, le prix des céréales (par hectolitre) est de:
En 1786, le prix des céréales (par hectolitre) est de:
En 1766, le prix des céréales (par hectolitre) est de: