En 1838, le prix d’une place de chemin de fer, d’Ans à Waremme, coûte selon l’une des 4 classes :
- berline : 1,60 franc belge
- diligence : 1,30 franc belge
- char-à-bancs : 1,00 franc belge
- wagon : 0,40 franc belge
En 1838, le prix d’une place de chemin de fer, d’Ans à Waremme, coûte selon l’une des 4 classes :
En 1950, un rapport de la Caisse Générale d’Epargne et de Retraite (CGER) montre que Waremme est la ville la plus chère du Pays, au vu des relevés de prix au détail.
En octobre 1947, un règlement communal de Waremme fixe à 80 francs par an le ramassage des ordures: un dépôt d’un bac de maximum 30 kilos par semaine.
Le 16 juin 1940, le bourgmestre de Waremme, JOACHIM Guillaume, prend un arrêté fixant les prix maxima des denrées de première nécessité.
Le 19 février 1915, le collège de Waremme publie un arrêté interdisant la vente de pain à un prix supérieur à 42 centimes.
Le poids du pain est défini: 1 et 2 kilos.
Les boulangeries ne peuvent plus fabriquer que du pain, à l’exclusion de pâtisseries.
Le 11 septembre 1914, le bourgmestre de Waremme Faisant-fonction, JOACHIM Guillaume, prend un arrêté interdisant l’exportation de pain et de farine hors de la commune.
Toute denrée transportée de manière illicite sera saisie au profit du Comité local de Secours.
Le prix du pain est fixé à 30 centimes le kilo.
Le 1er janvier 1896, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, sénateur, verse 5 francs à la « Société Royale Agricole de l’Est de la Belgique – Comice Agricole de Waremme ». Il s’agit de sa cotisation pour l’année 1896.
Le 3 août 1914, le conseil communal de Waremme, présidé par le bourgmestre RENIER Eugène, lance un appel au calme et dénonce les commerçants qui « ont d’une façon scandaleuse, haussé le prix des marchandises de première nécessité, précipitant ainsi la misère dans les foyers ».
En novembre 1906, le notaire CARTUYVELS de Braives fait paraître une annonce publicitaire dans « Le Journal de Waremme », pour un prix de 16,50 francs.
Le 31 août 1868, le greffier de la justice de paix de Waremme, FRAIPONT Jean-Baptiste, prend sa retraite après 37 ans de service.
Le traitement moyen de ses 5 dernières années de service était de 1.584 francs. Le montant de sa pension sera de 901 francs.