Les revenus du curé (Hodeige)

En 1528, les revenus annuels de la cure de Hodeige, sans compter le « casuel », s’élèvent à 120 muids d’épeautre, plus environ 200 deniers fortis de rente.

Les habitants dotent leur église (Hodeige)

En 1259, les fidèles de Hodeige dotent leur église de 9 bonniers de terre, qui doivent servir à l’usage du curé, ainsi que d’une rente annuelle de 4 muids d’épeautre. (Le bonnier étant calculé comme rapportant annuellement 3 muids, avec 9 bonniers, le curé aura donc un revenu annuel de 27 muids, plus 4 muids de rente annuelle, soit un total de 31 muids).

En outre, il percevra les oblations des fidèles et le « casuel » qui consiste dans la perception des droits d’étole à l’occasion de services religieux pour les défunts et les offrandes que l’on fait à l’occasion de la réception de certains sacrements ou d’autres cérémonies de l’Eglise.

Le salaire du bibliothécaire (Remicourt)

A partir du 1er janvier 1930, le bibliothécaire de Remicourt reçoit un traitement de 500 francs.

Hector Petitjean est augmenté (Remicourt)

Le 8 février 1929, le traitement de l’instituteur de Remicourt, PETITJEAN Hector, est augmenté de 500 francs (de 1.000 francs à 1.500 francs ?).

Le salaire de l’instituteur (Remicourt)

Le 12 janvier 1926, le Conseil Communal de Remicourt décide, à l’unanimité, d’accorder un traitement de 1.000 francs à l’instituteur PETITJEAN Hector.

Les ouvriers ne peuvent se payer le train (Waremme – Liège)

Jusqu’en 1869, il n’est pas possible pour un ouvrier waremmien de faire quotidiennement les trajets de Waremme à Liège, vu le prix du ticket. En effet, le trajet aller-retour coûte 2 francs, soit le salaire de 2 journées de travail sans nourriture. C’est pourquoi il n’utilise que très rarement ce moyen de transport.

L’acte d’érection du couvent (Waremme)

En 1952, l’acte autorisant la construction du couvent des Récollets, daté du 12 octobre 1624, est exposé à l’Hôtel de Ville de Waremme.

Il précise qu’il sera construit à l’emplacement de l’hôpital en ruine, mais à la condition expresse que les religieux n’aient aucun droit aux revenus de cet ancien établissement. Ceux-ci doivent rester affectés à leur destination primitive.

Changement dans l’enseignement (Crisnée)

En 1965, le conseil communal de Crisnée cède à l’Etat l’enseignement primaire et gardien des 5 communes de la nouvelle entité fusionnée, avec le mobilier scolaire et le matériel didactique. Tous les membres du personnel enseignant acceptent leur transfert dans l’enseignement de l’Etat, à situation pécuniaire égale.

Le salaire des ouvriers communaux (Crisnée)

En novembre 1944, le conseil communal de Crisnée décide d’allouer un salaire horaire de 5 francs aux travailleurs communaux qui réparent les chemins dégradés par le passage des blindés américains.

Joseph Tomballe, instituteur (Crisnée)

Le 30 décembre 1918, vu la démission de l’instituteur intérimaire de CHABOT Victor, le conseil communal de Crisnée désigne TOMBALLE Joseph pour remplir ces fonctions à l’école des garçons du village et fixe son traitement à 136 francs par mois.