En 1674, quelque prix dans la région de Waremme – Hodeige:
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- 1 aune de serge minime: 28 patars
- 1 aune de serge: 29 patars
- 1 gonfanon de damas rouge, 1 chasuble de dame blanche et 1chasuble de camelot verte: 327 florins
En 1674, quelque prix dans la région de Waremme – Hodeige:
En 1716, quelque prix dans la région de Waremme – Hodeige:
En 1715, quelque prix dans la région de Waremme – Hodeige:
En 1685, quelque prix dans la région de Waremme – Hodeige:
En 1676, quelque prix dans la région de Waremme – Hodeige:
En 1673, quelque prix dans la région de Waremme – Hodeige:
Le 25 (?) août 1325, le châtelain de Waremme, DE DAMMARTIN DE JEHAING DE JENEFFE Guillaume, se prépare à la bataille de Dammartin. Il prend un maximum de précautions pour que les coups ne puissent le transpercer: il se recouvre le corps d’une longue cotte de mailles, renforcée de plaques de fer ceignant tous ses membres, et aptes à parer toutes les percussions les plus violentes des piques, pertuisanes, lances et autres engins pointus analogues. Mais quand il veut enfourcher son fidèle destrier « Moreau de Dave », il doit demander l’aide de deux « solides et rudes gaillards ».
A la remarque qui lui est faite que son poids est nettement exagéré, il répond d’une voix tonitruante: « Or ça, qu’on se taise ! Je vous jure par Dieu et Saint-Georges que s’il a fallu deux piquiers pour me hisser sur Moreau de Dave, il en faudra quatre au moins pour me démonter. A la garde de Dieu et de Saint-Georges ! »
Selon la coutume, des gardes de corps sont préposés à maintenir la bride de Moreau de Dave; cet honneur est réservé à DE TROGNEE Robert et DE HEMRICOURT Thomas. Les deux frères du châtelain de Waremme, DE JEHAING (DE GEHAING) Arnould et (?) Libert Butor, se placent à ses côtés.
Vers 1910 (?), un surnommé « Bamboche » transporte les bagages des voyageurs, qui se rendent ou reviennent de la gare de Waremme, au moyen d’une brouette.
Il porte une casquette à visière élimée. Il s’exprime d’une voix puissante et « grassayante ». Il est solide, halé et barbu. Il a domestiqué une oie blanche qui le suit à quelques pas.
Vers 1943 (?), à court d’un tas de choses, les Allemands promulguent une ordonnance visant la réquisition des longs caleçons, à Waremme. L’échevin requis déclare que les Waremmiens n’ont pas de caleçons à livrer, en baissant son pantalon et en disant: « Est-ce que je porte un caleçon, moi … ! »
Le 6 mars 1918, le Conseil Communal de Remicourt souscrit un emprunt de 26.500 francs, au Crédit Communal, pour rembourser les dépenses de première nécessité: