En février 1952, suite à la décision de la Cour de Cassation lui donnant pourtant raison, DOYEN annonce son intention de renoncer à une partie des dommages accordés: celle qui correspond aux intérêts accumulés depuis 1918.
En février 1952, suite à la décision de la Cour de Cassation lui donnant pourtant raison, DOYEN annonce son intention de renoncer à une partie des dommages accordés: celle qui correspond aux intérêts accumulés depuis 1918.