Le 18 octobre 1850, le comité de salubrité publique de Waremme, présidé par LEJEUNE Guillaume, fils du Bourgmestre, rend un rapport concernant l’état sanitaire de la commune.
Il constate que l’insalubrité de certaines zones de la commune compromet gravement la santé des habitants et constitue un foyer latent d’épidémies.
Le comité dresse une description précise de l’état de la ville : un cimetière au centre de l’agglomération, le mauvais état de petites ruelles humides et malsaines, l’existence de mares d’eau stagnante et corrompue, le défaut de rigoles devant servir à l’écoulement des eaux, la mauvaise disposition des dépôts de fumier.
Les solutions qu’il préconise exigent une dépense évaluée à 20.293,15 francs.