En 1942, quelques dames de Waremme ont l’idée de mettre sur pied un mouvement qui organise des loisirs pour les filles (le pendant du Patronage Saint-Materne, réservé aux garçons).
Chaque dimanche, dès 13 heures, les jeunes filles peuvent désormais se rassembler dans les locaux de l’école primaire de l’Institut des Filles de la Croix. Leur mouvement s’appelle « Les Joyeuses ».