A la mort de D’AWIR Agnès, son mari veuf, DE WARFUSEE Libert Sureal, est inconsolable et pense à la mort. Il va, néanmoins, trouver la consolation avec l’aide de ses amis et de sa fille, DE WARFUSEE Alix, qu’il chérit tendrement.
Il renonce à la profession des armes et fait vœu de devenir prêtre, afin consacrer le reste de ses jours à prier pour l’âme de sa femme.
Il réalise ce vœu et est ordonné prêtre. Il va célébrer la messe, tous les jours, dans la chapelle de son château de Warfusée et dans d’autres maisons de la région.