Le 4 mars 1996, la défense de COEME Guy, devant la cour de Cassation, dans l’affaire « INUSOP » insiste sur le fait que leur client n’avait pas conscience que les contrats passés avec l’INUSOP étaient surévalués.
Le 4 mars 1996, la défense de COEME Guy, devant la cour de Cassation, dans l’affaire « INUSOP » insiste sur le fait que leur client n’avait pas conscience que les contrats passés avec l’INUSOP étaient surévalués.