Il assure les fonctions de chef de la police communale le 10 mai 1940. Homme de haute taille, à la carrure impressionnante, ancien de la guerre 14 – 18, il refusera de travailler sous la férule de l’occupant allemand. Il se retire donc « sous sa tente », attendant que l’ennemi abhorré quitte la ville. Cependant, il ne se contente pas d’attendre passivement le départ de l’occupant et il collabore activement à la lutte anti-nazie.