En 1856, MANGON Simon est journalier. Son épouse, MAHIELS Marie-Pauline, est propriétaire d’une maison dans la partie de la rue du Pont qui s’appellera plus tard rue Hubert Stiernet.
En 1856, MANGON Simon est journalier. Son épouse, MAHIELS Marie-Pauline, est propriétaire d’une maison dans la partie de la rue du Pont qui s’appellera plus tard rue Hubert Stiernet.