Un château à Oreye

En mars 1261, le chevalier DE MONFERANT Adan, Seigneur d’Oreye, et son épouse D’OREYE Elisabeth prennent en location, à perpétuité, 6 bonniers de terres , près de Tis (Thys ?), auprès de l’abbé de Saint-Trond, contre une rente annuelle de 26 muids d’épeautre. Ils ne pourront vendre ce bien sans le consentement de l’abbaye (Leurs successeurs payeront cette rente jusqu’à la Révolution française et l’abolition du régime féodal).

Sur ces terres, ils construiront un château féodal. Cet édifice comprendra une cour haute et une cour basse, flanquées de 4 tours carrées situées à chacune des extrémités. Une maison seigneuriale et un quartier des serviteurs et domestiques y seront adjoints. Des écuries et des étables complèteront l’ensemble. Une seule entrée permettra l’accès à ce château. Elle sera surmontée d’un donjon, précédé par un pont-levis. Des étangs, alimentés par le Geer, entoureront cet ensemble.

Mort de Robert de Hemricourt

Le 9 décembre 1261, le chevalier DE HEMRICOURT Robert décède à (?). Il sera inhumé dans l’église de Hemricourt.

Arnould d’Audenarde, avoué (Hesbaye)

En 1261, D’AUDENARDE Arnould est nommé avoué de Hesbaye. Ses parents sont D’AUDENARDE Louis et DE LIMBOURG Mathilde. Son épouse sera DE CHAUMONT Marie.

Guillaume de Jeneffe, châtelain de Waremme

En 1261, DE JENEFFE Guillaume est châtelain de Waremme. Ses parents sont DE JENEFFE Baudouin et DE MONTFERRANT Ermentrude.

Fastré de Ferme, maréchal (Liège)

Le 27 juillet 1261, le chevalier DE FERME Fastré est nommé maréchal de l’Evêché de Liège. Il le sera toujours en 1277. Son épouse est DE NOVILLE (DE DAMMARTIN) Agnès. Son père est POUILLET DE FERME Henri (?).

Gilles de Ferme, avoué (Grand-Axhe)

En 1261, le chevalier DE FERME Gilles est avoué d’Axhe. Il le sera toujours en 1273. Son épouse est prénommée Aleyde. Son père est DE FERME Robert.

Les dîmes de Waremme

En juillet 1261, le prévôt DE CONDE Jean, les archidiacres et les autres membres du Chapitre de la Cathédrale de Liège, reçoivent de l’abbaye du Val-Saint-Lambert, pour le posséder à perpétuité, le droit de percevoir les dîmes à Waremme, moyennant une rente de 74 muids d’épeautre.