Mort d’Alide de Warfusée (Corswarem – Momalle)

Le 20 mars 1335, DE WARFUSEE DE MOUMAL (MOMALLE) Alide (Aleide, Elwide ?) décède à (?). Son mari veuf est DE CORSWAREM Arnould II. Elle sera inhumée dans l’église de Corswarem.

Fin de la Guerre des Douze Lignages

Le 25 septembre 1334, DE MOUMALE Wathy II, désigné par le clan des Waroux, et DE HANEFFE Thiry, désigné par le clan des Awans, entrent à l’Abbaye de Saint-Laurent, accompagnés chacun de 5 chevaliers, pour négocier la fin de la Guerre des Douze Lignages.

Ils ne pourront sortir avant d’avoir conclu la paix. Un accord sera trouvé le 16 mai 1335.

Mariage de Henri de Peterschem et de Geile de Haneffe (Waremme)

En (?), DE PERTERSCHEM Henri (en vie entre 1335 et 1357) épouse DE HANEFFE Geile, veuve du châtelain de Waremme, DE JENEFFE Baudouin.

Arnold de Corswarem de Niel, chevalier

Après 1335, DE CORSWAREM DE NIEL Arnold est fait chevalier. Sa femme est DE WARFUSEE DE MOMALLE Alide. Ses parents sont l’écuyer DE CORSWAREM Arnold et CHABOT ?

Antoine le Blavier et Henri Cuen Desprez, bourgmestres de Liège

En 1335, LE BLAVIER Antoine et CUEN DESPREZ Henri sont nommés bourgmestres de Liège, sous l’épiscopat de DE LA MARCK Adolphe.

Jean de Ciplet vend des terres (Grand-Axhe)

Le 17 décembre 1335, les échevins de Grand-Axhe font savoir que DE CIPLET Jean, fils de feu DE FOOZ Libert, a vendu au chapitre de Sainte-Croix à Liège, une terre sise à « Seves » (Saives). Lambert, le curé (vesty) de Grand-Axhe a apposé son sceau sur la transaction.

La Paix de Douze (Liège)

En mars 1335, les représentants des deux partis ennemis des Awans et des Waroux se réunissent à l’abbaye Saint-Laurent à Liège. Ils mettent fin à la querelle qui les oppose et concluent la « Paix des Douze Lignages ». Les modalités du traité sont déterminées par DE MOUMALLE Wathi pour le clan des Awans et DE HANEFFE Thiry, Seigneur de Seraing, pour le clan des Waroux.

En vertu de cet accord, si le principe d’une juridiction d’exception à l’usage des lignages pour les litiges mineurs subsiste, c’est désormais à l’Evêque qu’il revient de trancher pour la justice de sang.