Statue de Saint-André (Hodeige)

En 1550, une statue de Saint-André, en noyer peint et doré, de style gothique, est installé à droite du chœur de l’église de Hodeige, adossée à un pilier. Elle coûte 25 florins.

Chemin de Croix pour l’église (Remicourt)

Le 14 mars 1913, un nouveau Chemin de Croix, en 14 tableaux, est installé en l’église de Remicourt. Il est peint sur toile fixée sur zinc avec cadres en chêne de 66 x 49 cm. C’est une copie de celui de Notre-Dame d’Anvers (oeuvre de JANSSENS J. de 1550). Cette copie a été réalisée par BEYAERTS Ch. de Bruges.

Ce Chemin de Croix est offert par Madame RIGO-BODEN. Il est béni par le Doyen MATERNE, en présence des curés de Lamine, Hodeige et Pousset.

Les revenus de la Fabrique d’Eglise (Crisnée)

Vers 1550, les revenus de la Fabrique d’Eglise de Crisnée sont de 36 muids d’épeautre, consistant en revenus de 56 bonniers de terres et en fondations.

L’obole à Notre-Dame (Thys – Tongres)

De 1550 à 1771, l’obole banale de l’église de Thys à Notre-Dame de Tongres s’élève à 7 deniers.

Découverte de vestiges (Oreye)

A l’été 1984, des débris de poteries et des ossements sont découverts, à une profondeur de 1m75, chez PINTE Lambert, rue des Combattants à Oreye, au lieu-dit « Le Village », lors du creusement d’une fosse septique.

Ces vestiges seront datés de 1550 à 1650 PCN.

La ferme devant le cimetière (Hemricourt)

En 1550, DE SCOBION Bauduin est seul propriétaire de la ferme dite « ferme devant le cimetière » à Hemricourt.

Mort de Bertheline de Boulant (Metz)

Le 25 (28 ?) septembre 1550, DE BOULANT Bertheline décède au couvent de Dames Prêcheresses à Metz (?). Elle était veuve du chevalier DE GOURNAIX François.

Edmond de Schartzemberg et Guillaume de Meef, bourgmestres de Liège

En 1550, DE SCHARTZEMBERG Edmond et DE MEEF Guillaume, dit « de Champion », sont nommés bourgmestres de Liège, sous l’épiscopat de D’AUTRICHE Georges.

Les vêtements des habitants de Waremme au 16ème siècle

Vers 1550, les vêtements de bure des paysans sont remplacés progressivement par des vêtements en drap. Des « texheurs » (tisserands) et des « parmentiers » (tailleurs) s’installent à Waremme.

L’emploi du linge de corps se généralise. La lessive se fait au moyen d’un cuvier dans lequel on fait bouillir le linge qu’on recouvre d’une couche de charbon de bois, dont la potasse sert d’agent nettoyeur.

Que mange-t-on à Waremme et dans les villages avoisinants au 16ème siècle ?

Vers 1550, les gens du peuple mangent du pain noir cuit au four banal, de la « potkéze », de la soupe à base de légumes et de lard à l’occasion car la pomme de terre est encore inconnue. On fait des bouillies de seigle ou d’orge, un brouet agrémenté de quelques légumes du potager, rave, navet, poireau, chou, pois… On boit surtout de l’eau, parfois du petit-lait.

Une scène de repas : il n’y a pas de couverts, on mange avec les doigts; on saisit la viande (quand il y en a) prédécoupée dans des plats, on la dépose sur un tranchoir de gros pain (les assiettes n’existent pas) et on la trempe dans une écuelle de sauce disposée pour plusieurs personnes.