En 1595, il y a une contestation entre le curé de Hodeige et CHOQUIER Wason, chanoine de Saint-Denis à Liège, à propos de l’autel ou Bénéfice fondé en l’honneur de la Sainte-Vierge, de Saint-Antoine, de Saint-Sébastien, de Sainte-Lucie et de Sainte-Geneviève. On estime que ce Bénéfice vaut 24 muids d’épeautre à charge de 2 messes par semaine.
En (?) (avant 1595), l’église de Hodeige possède deux petits autels ou bénéfices.
Le premier fondé en l’honneur de la Sainte Vierge, de Saint-Antoine, de Saint-Sébastien, de Sainte-Lucie et de Sainte-Geneviève.
Le deuxième fondé en l’honneur de Saint-Erasme, de Saint-Pierre et de Saint-Quirin.
En 1595, LE CHARLIER Henri est mambour de l’église de Hodeige.
En 1595, les revenus de l’église de Hodeige s’élèvent à 27 muids.
En 1595, un paroissien de Hodeige est accusé de s’être battu avec le coadjuteur de Lamine, dans une taverne de Hodeige.
Vers 1595, l’abbé GILOTTIN Amel, desserviteur de la paroisse de Hodeige, reçoit un coup de poignard d’un de ses paroissiens, pour avoir déposé contre lui devant l’Archidiacre, lors de sa visite archidiaconale.
En 1595, pas moins de 3 meurtres sont perpétrés à Hodeige (où par des gens de Hodeige).
En 1595, l’abbé LE HAUT Jean est le curé de Hodeige. Il ne réside pas dans la paroisse. Il y revient parfois le dimanche pour célébrer les offices. En son absence, il se fait remplacer par l’abbé GILOTTIN Amel, de Momalle, qui dessert la paroisse.
En 1595, la Seigneurie d’Otrange est aux mains de la famille TOLLET. Elle passera ensuite à la famille DONCKIER.
En 1595, DE TOLLET Bernard, (futur ?) bourgmestre de Liège, devient propriétaire de la Seigneurie d’Otrange, par mariage.