Guillaume-François Renardi et Henri-Paul Gilotton, bourgmestres de Liège

En 1684, RENARDI Guillaume-François et GILOTTON Henri-Paul sont nommés bourgmestres de Liège, sous l’épiscopat de DE BAVIERE Maximilien-Henri.

Ils sont remplacés pat DE SCARENBERGH Jean-Guillaume et DE GRATY Matias, après le règlement du 29 novembre 1684, du Prince-Evêque.

L’hôtel « Verd Cheval » de Waremme

En 1684, l’hôtel du « Verd Cheval » de Waremme est voisin de la maison « Delle couronne ». A cet emplacement s’installeront plus tard le salon de coiffure « Antoine » et « Les Petits Caprices ».

La maison « Delle Couronne » de Waremme

En 1684, la maison « delle couronne » de Waremme, est tenue par MAKAR Dirick. A cet emplacement s’installera plus tard la taverne « Les Caves d’Artois ».

La « Violette » est prise à Liège

Le 18 août 1789, la « Violette » est prise sans heurts à Liège. Les deux nouveaux bourgmestres à peine élus, DE CHESTRET Jean-Remy et FABRY Jacques-Joseph, contraignent le Prince-Evêque HOENSBROECK, ramené de Seraing, à abolir le règlement contesté de 1684 et à avaliser un nouvel ordre communal, plus démocratique.

Nicolas Dejeneffe et Jacques Jossar, bourgmestres (Waremme)

En 1684, DEJENEFFE Nicolas et JOSSAR Jacques sont nommés bourgmestres de Waremme.

Agnès Coune fait relief de l’avouerie de Waremme

Le 15 juillet 1684, la noble COUNE Agnès, Dame de Fanson, veuve du noble seigneur DE SELYS Godefroid, fait relief de l’avouerie de Waremme.

Le relief est une prestation financière due au seigneur, par l’héritier du vassal défunt ou par un acheteur, en échange de l’investiture du fief. Le vassal paye pour « relever » le fief
du mort ou du vendeur. Normalement égal à une année de revenu net, le relief est lourd en soi. […] Il devient intolérable lorsque les successions sont raprochées par plusieurs morts consécutives ».

Un Corps de Garde sera construit rue du Pont à Waremme

Le 4 juin 1684, les bourgmestres FRAIPONT Hubert et JOSSAR Mathieu décrètent qu’un Corps de Garde de la rue du Pont sera construit par … BODEN à ses frais. Il pourra y faire un grenier et devra entretenir la couverture en ardoises.

Un corps de garde sera donc annexé à chaque porte de Waremme. En période de troubles, on y place une compagnie de bourgeois armés. Un portier y habite continuellement. Il a pour mission d’ouvrir et de fermer la porte, de tocquer les feux de garde, …