De 1551 à 1563, l’abbé COELBAZ Jean est curé de Hodeige.
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Jean Fabry, curé (Hodeige)
De 1553 à 1556, l’abbé FABRY Jean est curé de Hodeige.
Jean Constant, curé (Hodeige)
En 1551 et 1552, l’abbé CONSTANT Jean est curé de Hodeige.
Jean Aqualia, curé (Hodeige)
En 1550, l’abbé AQUALIA Jean est curé de Hodeige.
Des statues pour l’église (Hodeige)
Vers 1503 (?), Maître LE PONDEUR Antoine et son fils, LE PONDEUR Martin, fournissent à l’église de Hodeige un Christ en Croix Triomphal avec les deux statues de la Sainte-Vierge et de Saint-Jean. Sur la « trabes », ils doivent peindre, en outre, les figures des 12 apôtres (probablement en buste seulement). Ils s’engagent à faire le tout pour 38 florins.
Statue de Saint-André (Hodeige)
En 1550, une statue de Saint-André, en noyer peint et doré, de style gothique, est installé à droite du chœur de l’église de Hodeige, adossée à un pilier. Elle coûte 25 florins.
Les Apôtres à Hodeige
En 1538, des statues de 10 Apôtres sont placées dans le chœur de l’église de Hodeige, sur la « trabes », à côté de celles de la Sainte-Vierge et de Saint-Jean. Ces statues coûtent 57 florins, plus 70 florins pour leur peinture et celle des treillis.
Une clôture pour l’église (Hodeige)
En 1537, le clôture (treillis) est installée dans le chœur de l’église de Hodeige. Elle est divisée en 3 compartiments, dont celui du milieu qui constitue une porte à 2 battants. La partie inférieure, jusqu’à la hauteur de quelques pieds au-dessus du pavement, se compose, selon l’usage, de panneaux pleins, tandis que la partie supérieure jusqu’à la « trabes » est ajourée. Vu le prix relativement élevé de 74 florins (soit 33 pour la matière première et 41 pour la main-d’œuvre), ce travail doit être très soigné et ornementé.
Un tréfanon pour l’église (Hodeige)
En 1536, un « tréfanon » est installé dans le choeur de l’église de Hodeige. Il coûte la somme de 50 florins (dont 18 pour la matière première et 32 pour la main-d’oeuvre).
Par « tréfanon », il faut entendre non seulement la poutre, appelée « trabes » ou « tref », qui repose sur les 2 piliers du chœur soutenant l’arc triomphal, mais encore le calvaire, composé d’un Christ en Croix (reposant par sa partie inférieure sur la « trabes » et attaché par sa partie supérieure avec un chaîne à l’arc lui-même) et de 2 statues, de la Sainte-Vierge et de Saint-Jean, posées à droite et à gauche de la Croix.
Guillaume de Momalle, curé (Hodeige)
En 1538, l’abbé DE MOMALLE Guillaume, dit « DE LONCIN », est nommé curé de Hodeige. Il occupera cette fonction jusqu’en 1549.
Remarque: A cause du système des coadjuteurs usité à cette époque, il est souvent difficile, voir impossible, de fixer la durée du pastorat des curés. On trouve parfois, même pour un même laps de temps, 3 noms de prêtres différents, signant tous comme curé, investi ou desserviteur de Hodeige. Il arrive très souvent que les curés nommés ne résident pas dans la paroisse; ils peuvent avoir un coadjuteur, qui lui-même paye parfois un autre prêtre pour remplir son office.