En 1746, l’année de son admission, DISTECH Coune est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
En 1746, les habitants des villages voisins se plaignent auprès de la Cour de Justice de Waremme, de n’avoir reçu aucune compensation pour les fournitures faites aux troupes qui ont stationné sur leur territoire : les troupes du Prince Charles et les troupes de France, ainsi que pour les dégâts occasionnés par celles-ci.
En 1746, DISTECH Coune est admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
En 1746, les habitants de Waremme transmettent à la cour de justice de la ville un rapport des frais occasionnés par les fournitures faites aux différentes troupes.
Le 2 novembre 1746, le major Comte D’ESTERHASY, commandant un régiment de hussards autrichiens, vient prendre ses quartiers d’hiver dans la ville et ne la quittera que vers le 12 avril 1747.
Le 19 octobre 1746, le général SAINT-ANDRE laisse ses troupes dépouiller les granges et les greniers des environs.
Le 6 septembre 1746, les troupes commandées par le maréchal DE SAXE prennent position dans la ville et enlèvent de force chez leurs hôtes ce qui leur est nécessaire.
Quelques jours plus tard, Waremme doit ravitailler un gros détachement qui va conduire le trésor à l’armée assiégeant Namur.
jean-théodore de bavière prince-évêque de liège
Le 21 août 1746, un mandemant du Prince-Evêque de Liège, DE BAVIERE Jean-Théodore, confirme l’arrangement fait la veille par le Baron FREGVAL, commissaire des guerres, à Waremme, pour prévenir le désordre et connaître au juste ce qui a été fourni aux troupes françaises.
Le 18 août 1746, le général BERCHINI s’installe avec 25.000 hommes tout à l’entour de Waremme. Après leur départ, arrivera un détachement de hussards, qui harcèleront les personnes menant des vivres à l’armée.
Le 18 juillet 1746, une avant-garde, commandée par le comte DE GASCO, vient camper à Waremme. Peu de jours après, arrive le Prince DE LORRAINE Charles, accompagné du Comte DE GLOES. Ils ont les larmes aux yeux de voir cette pauvre ville sans magasin. Leurs troupes prennent le nécessaire dans la campagne avoisinante.
charles de lorraine