Le 25 juin 1776, LEJEUNE Marie-Gertrude voit le jour à Waremme. Elle sera baptisée le 28 juin. Ses parents sont le médecin et chirurgien de Waremme, LEJEUNE Jean-Michel, et LHOEST Marie-Jeanne (qui se sont marié à la paroisse Saint-Pholien à Liège le 23 novembre 1773).
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Naissance d’Anne-Marie Destexhe (Waremme)
Le 8 juillet 1776, DESTEXHE Anne-Marie voit le jour à Waremme. Ses parents sont DESTEXHE Conrard-Joseph et CHAUVAUX Marie-Elisabeth.
(Son père, DESTEXHE Conrard-Joseph, et son grand-père DESTEXHE Martin ont été les fermiers à Waremme de la famille VAN DER HEYDEN A BLISIA, puis de la famille VAN DEN STEEN de Saives)
(Son arrière-grand-père, DESTEXHE Conrard, a été le censier de la Collégiale Saint-Denis de Liège, à Lens-sur-Geer. Il était originaire de Hozémont ?)
Elle épousera LEJEUNE Gilles-Joseph.
Mariage du Baron de Heusch de Bombroeck et Thérèse-Catherine de Corswarem
Le 2 février 1776, le Baron DE HEUSCH DE BOMBROECK épouse DE CORSWAREM Thérèse-Catherine, fille de DE CORSWAREM Joseph-Clément et DUJARDIN Catherine, dite « de Blehen », sa seconde épouse.
Démographie à Hodeige en 1776
En 1776, il y a 12 naissances, dont 1 illégitime, à Hodeige ( 6 garçons et 6 filles ) et 13 décès ( 9 masculins et 4 féminins ).
Henri Mélon, bourgmestre (Hodeige)
En 1776, MELON Henri est bourgmestre de Hodeige.
Jean-Riga Dupont, bourgmestre (Hodeige)
En 1776, DUPONT Jean-Riga est bourgmestre de Hodeige.
Mort de Gérard Rennotte (Hodeige)
Le 25 décembre 1776, RENNOTTE Gérard décède à (?). Il sera inhumé au cimetière de Hodeige.
La ferme en carré de Ligney
En 1981, la ferme en carré de Ligney, située rue de l’Ecole, se trouve hors du village, au milieu de prairies plantées de peupliers. Elle forme un grand quadrilatère de 18ème siècle en brique et calcaire partiellement chaulé.
Un beau portail formé d’un pavillon harpé, couvert de toitures mansardées en Eternit et ouvert d’un arc en anse à panier à claveaux passants, permet de pénétrer dans la cour. La clé est creusée dans une niche et porte la date de 1776. Des meurtrières percent ce portail. Côté cour, une ouverture triangulaire éclaire le colombier.
A gauche du porche, se trouve l’imposant logis à deux niveaux, sur caves, à double-corps de cinq travées, accru d’une sixième à droite. La travée centrale est en ressaut surmonté d’un liteau à corniche saillante sur piédroits moulurés. Autrefois protégées par des volets, les baies ont des linteaux faiblement bombés à clé. Une toiture de tuiles à coyau couvre ce logis, dont l’intérieur présente un décor bien conservé: plafonds et cheminées ornés de stuc rocaille, un beau départ d’escalier.
La grange en double large, datée par ancrage de 1754, occupe le côté Nord du quadrilatère. Les portes charretières à claveaux passants doublés d’un rouleau de briques, présentent pour l’une un arc en anse de panier et pour l’autre un arc cintré.
Le reste des bâtiments se compose d’étables couvertes de plafonds plats, surmontés de fenils et percées de portes à linteau bombe et à clé. Un passage charretier, à arc surbaissé et claveaux passants doublés d’un rouleau de briques, ouvre l’aile en face du logis et débouche dans les prés. Une partie de cette aile est actuellement en démolition.
Le Pré des Archers (Waremme)
En 1776, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme est propriétaire de la prairie d’entraînement, dite « Le Pré des Archers », située en bordure du Geer, sous le château (où se situera bien plus tard le presbytère de la ville).
Cette prairie sera plusieurs fois vendue et rachetée.
Projet de collège au couvent (Waremme – Liège)
En 1776, les bourgmestres de la Waremme, FRERARD Gilles et BOUX Jean-Gisbert, désirent qu’un collège d’Humanités, tenu par les Pères Récollets, soit créé à Waremme.
Pour cela, ils écrivent au Prince-Evêque de Liège: « Les bourgmestres et magistrats de votre bonne ville de Waremme-le-Château, considérant que la science est l’âme d’un Etat, germe des vertus et la base de la société, et que l’homme ne peut rien acquérir de si précieux qu’icelle, ont formé le projet d’établir en leur ville l’enseignement des Humanités, sous l’agrégation de votre Altesse…. »
Le conseil de la commune entrera ensuite en pourparlers avec le Père Provincial des Récollets, qui répondra qu’il faut attendre la réunion générale des Pères (qui se tient tous les 3 ans). Le projet va encore échouer.