En 1806, FRAIPONT Henri-Joseph voit le jour à (?). Il sera pharmacien à Waremme.
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Jean De Looz Corswarem, lieutenant (France)
En 1806, DE LOOZ CORSWAREM Jean-Joseph-Benjamin est promu lieutenant d’un régiment de lanciers de l’Empire français.
Naissance de Laure Smits (Liège – France)
En 1806, SMITS Laure voit le jour à (?). Ses parents sont l’imprimeur-éditeur d’origine liégeoise établi à Paris, SMITS Jean-Joseph, et GANDOLPHE Marie-Denise.
Mort de Jean-Joseph Smits (Liège – France)
En 1806, l’imprimeur-éditeur d’origine liégeoise établi à Paris, SMITS Jean-Joseph décède à Paris. Sa veuve est GANDOLPHE Marie-Denise, dite « Julie ».
Elle se remariera avec DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Laurent.
Le testament de Marie-Elisabeth Brassine (Waremme)
Le 22 février 1806, BRASSINE MARIE-Elisabeth, veuve de WARNOTTE Jean, rédige son testament devant le notaire BOUX de Waremme et lègue ses biens à ses deux fils WARNOTTE Nicolas et WARNOTTE Pascal.
Mort de Marie-Elisabeth Brassine (Waremme)
Le 26 février 1806, BRASSINE Marie-Elisabeth décède à Waremme.
Le comte De Laplace (France)
Mode de vie en Hesbaye au début du 19ème siècle
Entre 1806 et 1813, le Français THOMASSIN Louis-François rédige Le « Mémoire Statistique ». Il est chef de la division des finances à la Préfecture du Département de l’Ourthe.
Il décrit un peuple très attaché au catholicisme et aux figures ecclésiastiques qui l’incarnent; mais aussi un peuple peu instruit et revendicatif, friand de procès.
Il trace une ligne de partage entre Flamands et Wallons, mais surtout entre classes sociales. Les rares fermiers, propriétaires et locataires, exercent un réel pouvoir sur les nombreux ouvriers agricoles et manoeuvres, qu’ils peuvent congédier à discrétion et qui nourrissent dès lors à leur endroit une rancune tenace.
THOMASSIN observe, par ailleurs, un paradoxe: bien que vivant sur le sol le plus productif du département, le Hesbignon se nourrit très mal, préférant exporter le fruit de son travail et s’alimenter de pain de seigle mal cuit, de lard et de pommes de terre. Seuls les plus aisés dérogent à cette règle.
Il note la présence de débits de boissons dans chaque village mais l’absence presque totale d’auberges, sauf sur la route de Liège à Bruxelles et à Waremme même.
De ce portrait, peu flatteur, on peut encore épingler deux traits significatifs:
- l’importante consommation d’alcool (de bière et, surtout près de la Meuse, d’eau de vie de grains) qui ne contribue guère à apaiser les esprits;
- une conception très utilitariste des priorités. THOMASSIN écrit, en effet, que le fermier et le cultivateur de Hesbaye se déterminent difficilement à la plus légère des dépenses pour faire administrer des secours à sa femme et à ses enfants lorsqu’ils sont malades. Par contre, ils prodiguent l’argent dès qu’il s’agit de procurer des remèdes pour leurs chevaux, leurs vaches, leurs moutons, …
Le village de Bleret
En 1806, il y a 156 habitants à Bleret.
La consommation de bière à Waremme
En 1806, les recettes de l’octroi portent sur un total de 1.266 hectolitres de bière fabriqués à Waremme sur l’année écoulée.

