Mallarmé, receveur (Waremme)

En 1811, MALLARME est receveur de l’Enregistrement pour le canton de Waremme.

Simonis, huissier (Waremme – Longchamps)

En 1811, SIMONIS est huissier ordinaire à Longchamps, près de Waremme.

Lafosse, gendarme (Waremme)

En 1811, LAFOSSE est le brigadier de la gendarmerie impériale de Waremme.

Le clergé du Canton de Waremme

En 1811, le clergé du Canton de Waremme est composé de:

  • Waremme: HUBAILLE Emmanuël, curé
  • Bergilez: MAISON Gilles-Joseph, desservant
  • Berloz: DANGLEUR Michel, desservant
  • Boelhe: FRANCOTTE Pierre, desservant
  • Darion: QUIRINI Henri-André, desservant
  • Hollogne-sur-Geer: BOTTIN Léon-Th., desservant
  • Lamine: STRACMAN Jean-Charles, desservant
  • Lantremange: LEONARD Marcel-Lambert, desservant
  • Limont: GRANDJEAN Simon, desservant
  • Oleye: GHYLBERT François-Joseph, desservant
  • Oreye: GODENNE Henri-Joseph, desservant
  • Selle: MARTINI Barthélemi-Joseph, desservant

Jubilé de la famille Lejeune (Waremme)

Le 27 novembre 1911, le notaire de Waremme, LEJEUNE-NAVEAU Charles organise le jubilé de sa famille.

Son grand-père, LEJEUNE Charles-Michel a été nommé notaire à Waremme par BONAPARTE Napoléon, le 9 janvier 1811. Son père, LEJEUNE Jules, a pris la suite du grand-père en 1846 et lui-même a remplacé son père, le 14 octobre 1880, et est toujours titulaire de la charge. Les « LEJEUNE » sont donc notaires à Waremme depuis un siècle.

Il faut ajouter que les trois notaires « LEJEUNE » ont été bourgmestre de Waremme, pendant 67 ans sans interruption, de 1817 à 1904, année durant laquelle l’actuel notaire, LEJEUNE Charles, a donné sa démission.

La Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme

En 1811, à la Pentecôte, le conseil des anciens de la Confrérie est composé de :

  • DEJENEFFE François : le roi
  • LISMONDE Hubert : le doyen
  • SALES : le gouverneur
  • BOUNIE Balthazar
  • GUILLICK Simon
  • GUILLICK Mathieu
  • FRESON François
  • FRAIPONT Antoine
  • SWECK Robert, en qualité de prêtre
  • MELARD Barthelemy-Hubert, secrétaire.

Les deux derniers n’ont qu’une voix consultative.

Lors des traditionnels diners du lundi et mardi de la Pentecôte, 23 confrères sur les 36 sont présents.

Les fabriques de sucre sont interdites par le Régime Hollandais (Belgique)

En 1816, les fabriques de sucre, qui avaient été autorisées par BONAPARTE Napoléon en 1811, sont interdites par le régime hollandais, pour développer le commerce avec ses colonies.

Fondation de la Confrérie Saint-Eloi (Waremme)

En 1811, une Confrérie, destinée à favoriser le culte de Saint-Eloi, est fondée à Waremme. Elle a pour but principal le bénéfice, pour ses membres, des indulgences accordées en raison du culte spécial rendu à Saint-Eloi.

Ce Saint est le protecteur des travailleurs du métal, des chevaux, des charrons et des cultivateurs.