La Ferme du Perron (Waremme)

Le 8 juillet 1850, un acte est signé devant le notaire HOUSSA Thomas-Léonard de Waremme, concernant la Ferme du Perron, par Messieurs DE LAFONTAINE Eugène, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond et LEJEUNE Charles-Michel-Joseph.

La ferme est située à l’angle de la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters) et de la future place de l’Ecole Moyenne.

Le pharmacien Fraipont (Waremme)

Le 1er octobre 1850, FRAIPONT H. est agréé comme pharmacien militaire à Waremme.

Stanislas Fleussu, conseiller (Waremme – Liège)

En 1850, le Waremmien FLEUSSU Stanislas est conseiller à la cour d’appel de Liège.

Naissance d’Eusébie de Brigode de Kemlandt (Waremme – Liège)

Le 10 juin 1850, DE BRIGODE DE KEMLANDT Eusébie voit le jour à Liège. Elle sera l’épouse de DE SELYS-LONGCHAMPS Raphaël.

Qui est vraiment Ermengarde ? (Waremme – Liège)

Vers 1850, le chanoine DARIS Joseph effectue des recherches sur l’identité exacte d’ERMENGARDE de Waremme, qui a fait des donations à l’église de Liège en 1078.

L’Affaire Meyer risque de compromettre la dynastie (Belgique)

roi léopold 1er

roi léopold 1er

En août 1850, les plus proches collaborateurs de LEOPOLD 1er tentent de le convaincre d’apparaître plus souvent en public avec son épouse, la Reine LOUISE-MARIE. Le gouvernement craint même que « L’Affaire Meyer », du nom du mari de la maîtresse du Roi, CLARET Arcadie, n’entraîne la chute de la dynastie. Le Roi se laisse convaincre à grand peine.

louise-marie d'orléans

louise-marie d’orléans

arcadie claret

arcadie claret

Gilles Fr. Huart de Waremme est décoré

En 1850, Gilles Fr. HUART de Waremme se voit décerner la décoration de deuxième classe. Il est décoré pour son aptitude particulière dans la fabrication des instruments aratoires.

Avec son frère et associé, il a obtenu plusieurs distinctions aux concours de la société agricole de Liège, et notamment pour des tarares et des coupes-racines perfectionnés.

Waremme est insalubre

Le 18 octobre 1850, le comité de salubrité publique de Waremme, présidé par LEJEUNE Guillaume, fils du Bourgmestre, rend un rapport concernant l’état sanitaire de la commune.

Il constate que l’insalubrité de certaines zones de la commune compromet gravement la santé des habitants et constitue un foyer latent d’épidémies.

Le comité dresse une description précise de l’état de la ville : un cimetière au centre de l’agglomération, le mauvais état de petites ruelles humides et malsaines, l’existence de mares d’eau stagnante et corrompue, le défaut de rigoles devant servir à l’écoulement des eaux, la mauvaise disposition des dépôts de fumier.

Les solutions qu’il préconise exigent une dépense évaluée à 20.293,15 francs.