Le 15 avril 1865, HANSON Marie-Louise voit le jour à Oreye. Ses parents sont HANSON Joseph et LAHAYE Catherine, qui a été sous-perceptrice des Postes. Elle épousera SIMONON Renier, percepteur des Postes à Oreye.
Vers 1865, BOTTY Marie tient la sous-perception de la Poste à Oreye. Elle est célibataire.
En 1865, COMPERE Cyrille voit le jour à Oreye. Il épousera VANORMELINGEN Victorine native de Lowaige. Il sera boucher-charcutier à Oreye. Il aura un petit abattoir de porcs et de moutons à son domicile. (Les boeufs et les veaux sont abattus dans les grands abattoirs des villes).
Le 11 juillet 1865, JABON Hubert-Erasme décède à (?), à l’âge de 63 ans. Il était veuf de LOUMAYE Marie-Eléonore-Hubertine. Il a été notaire à Donceel.
En 1865, la chapelle « Notre-Dame de Lorette » de Viemme est en ruine.
En janvier 2009, la râperie de Hollogne-sur-Geer doit fermer ses portes.
Elle a été fondée en 1865 et est devenue trop vétuste. Elle est jugée trop « énergivore » par la Raffinerie Tirlemontoise qui l’exploite. Elle employait une quinzaine d’ouvriers permanents, qui seront recasés sur d’autres sites du groupe. Elle employait également une quarantaine de saisonniers. Les agriculteurs de la région devront parcourir plus de kilomètres pour décharger leur stock de betteraves.
En 1865, à la mort du Roi LEOPOLD 1er, seuls 47% de la population belge savent lire et écrire.
En 1865, la commune de Momalle achète un terrain à la Fabrique d’Eglise, situé en face de l’église, pour y construire de beaux et vastes locaux, comprenant:
Les plans sont dressés par l’architecte DEMANY Lambert.
En 1865, 88% des voyageurs, qui embarquent en gare de Waremme, empruntent la troisième classe.
Le 7 mars 1867, le Conseil Communal de Waremme constate, qu’en 1866, la voirie empierrée de la commune et les chemins de grande communication qui traversent son territoire, ont été fortement dégradés par:
La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins empierrés et pavés de la commune pour un montant de 427,45 francs en 1865 et de 448, 63 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de Waremme, le Conseil Communal décide de les taxer comme suit:
Ces impositions prennent en considération les droits de péage payés par ces entreprises.
La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins de grande communication traversant son territoire, pour un montant de 1.220,80 francs en 1865 et de 1.464,96 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de la région, le Conseil Communal de Waremme décide de les taxer comme suit: