Naissance de Caroline Naveau (Bommershoven)

Le 8 mai 1867, NAVEAU Caroline-Marie-Louise-Henriette voit le jour au château de Bommershoven. Elle épousera BREULS Nicolas.

Une école du soir à Lamine

Le 15 mai 1867, une école du soir est créée à Lamine, avec l’appui du Bureau de Bienfaisance du village.

Mort d’Adam Herbillon (Haneffe)

Le 25 septembre 1867, HERBILLON Adam-Blaise-François-Joseph décède à Haneffe, à l’âge de 70 ans. Il était veuf de DONCEEL Marie-Catherine. Il a été instituteur, administrateur de la commune et de la Fabrique d’Eglise de Haneffe.

Naissance de Lambert Dethioux

Le 1er janvier 1867, DETHIOUX Lambert-Nicolas-Joseph voit le jour à Pousset. Ses parents sont DETHIOUX Nicolas-Joseph et JAMAR Marie-Catherine. Il épousera BIAVAT Léontine. Il sera directeur général de l’Administration des Télégraphes et des Téléphones.

La famille Deruisseau (Waremme)

En 1867, la famille DERUISSEAU est installée rue Sous-le-Château, à Waremme.

Embouteillages à Waremme

Le 1er octobre 1867, pour remédier aux embouteillages dans la commune, causés par l’afflux de tombereaux de betteraves vers les deux sucreries, le Conseil Communal de Waremme prend les mesures suivantes:

  • Les chars venant de Waremme doivent monter la rue de la Station du côté gauche et descendre par la rue Sous-le-Château.
  • Le stationnement est interdit rue de la Station, à hauteur des raccordements ferrés vers les deux fabriques.
  • Aucune voiture ne peut emprunter la rue Sous-le-Château, à partir de la maison « DERUISSEAU ».
  • Les chars venant de Longchamps doivent contourner la gare par l’empierrement qui aboutit près de la maison « BERTRAND ». Les autres transports doivent continuer par la rue Sous-le-Château, sans s’arrêter.

En cas d’infraction à ces mesures, une amende de 5 à 10 francs sera appliquée.

Deux nouvelles barrières de péage (Waremme)

Le 27 juillet 1867, le Conseil Communal de Waremme décide la création de deux nouvelles barrières de péage, sur le Chemin de Longchamps.

Maintien de l’imposition des sucreries (Waremme)

Le 18 mai 1867, le Conseil Communal de Waremme constate que les péages perçus sur les voiries de la commune ne suffisent pas à la réparation des dégradations causées à celles-ci par les charrois des sucreries. Il décide donc de maintenir les impositions établies à leur charge, malgré leur réclamation.

Réclamation contre l’imposition communale (Waremme)

En mars (?) 1867, les sucreries LAURENTY et MOMMENS introduisent une réclamation contre l’imposition mise à leur charge par la commune de Waremme, pour la réparation des voiries communales. Elles déclarent participer déjà à ces réparations par les droits de péage qu’elles acquittent lors de leurs transports.

La réparation des voiries de Hollogne-sur-Geer

Le 12 mai 1867, le Conseil Communal de Hollogne-sur-Geer constate que d’importants dégâts ont été causés au chemin de grande communication « Waremme – Lens-Saint-Remy », dans la traversée de son territoire. Il négocie avec la sucrerie NAVEAU, pour qu’elle prenne en charge une partie des frais de réparation. Elle accepte de payer 1.360 francs pour l’achat de pierres destinées à cet usage.