La siroperie de Guillaume Lambert (Waremme)

En 1912, LAMBERT Guillaume exploite une fabrique de sirop et de vinaigre à Waremme. Il vend également des fruits et des graines de betterave.

La Poste de Waremme

Avant 1912, les bureaux de la Poste se situent rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters), à côté de la chapelle de l’Institut des Filles de la Croix, vers la Place de la Gendarmerie.

La meunerie dans la région de Waremme

Vers 1912, il y a deux types de meuneries dans le canton de Waremme:

  • La meunerie locale, de détail: Il y a 7 à 8 fermiers qui possèdent un moulin, conjointement avec leur ferme. Il y en a 3 à vent et 4 à eau, le long du Geer. Leur matériel n’est pas très important: une meule ou deux, quelques tamis, … Le meunier gagne un salaire de 400 à 500 francs, en plus du logement et de la nourriture. C’est toujours un homme de confiance. Il est chargé d’aller de ferme en ferme, prendre le grain qu’il doit moudre et reconduire plus tard la farine et le son. Il tient la comptabilité.
  • La grande meunerie ou minoterie: Il y a 4 grands moulins mécaniques, à Waremme, à Oleye, à Bergilers et à Limont. Ils travaillent sur de grandes quantités de grains. Leur clientèle se trouve dans les villes, les coopératives et à l’étranger. Un exemple des salaires versés dans un de ces moulins: chef (6 à 7 francs par jour); conducteur de moulin (4 à 6 francs par jour); machinistes et ouvriers (2,5 à 3 francs pour 14 heures); conducteurs de charrettes (7 à 8 francs pour 17 heures).

Le Journal La Hesbaye (Waremme)

Vers 1912, les locaux du journal « La Hesbaye » sont situés rue de la Station à Waremme, sur le trottoir de droite en montant vers la gare.

Recettes du Vicinal (Waremme – Oreye)

En 1912, la ligne vicinale 471, entre Waremme et Oreye, a engendré des recettes de 44.258 francs pour le transport des voyageurs et de 37.000 francs pour le transport des marchandises. Les bénéfices sont confortables: 3 francs de recettes, pour 2 francs de dépenses.