Fin 1914, le Collège Saint-Louis ouvre ses portes à la Croix-Rouge qui y installe une antenne médicale. De nombreuses Waremmiennes se mettent à son service.
La Baronne DE SELYS-LONGCHAMPS prête son auto à la Croix-Rouge pour faire office d’ambulance. Elle fournit les légumes nécessaires à assurer la subsistance de blessés. Elle offre également d’accueillir chez elle les blessés qui ne pourraient l’être à l’antenne médicale.
Pendant la Guerre 1914 – 1918, le café « Au Cœur d’Or » est tenu par RENIER Jean-Baptiste. Cet établissement sert de local aux réunions des membres du Parti Libéral de Waremme.
Pendant la Guerre 1914 – 1918, il y a deux clubs de football à Waremme.
Durant la Guerre 1914 – 1918, le commissaire d’arrondissement, HALLET Emile, rend de grands services à la population de Waremme.
Vers 1914, MASSA Nestor installe une Messagerie, firme de transport, au n° 69 de la rue du Pont à Waremme. Avec sa charrette tirée par un cheval, il assure quotidiennement un service de livraison de colis vers Liège.
En 1914, la firme « Haubrechts-Génicot », grossiste en denrées coloniales, s’installe à l’extrémité de (ce qui deviendra) la rue Gustave Renier, à côté de la boulangerie de l’Union Coopérative. Elle dispose d’un camion automobile, d’une charge utile de 3,5 tonnes.
En 1914, la scierie à vapeur de MATAGNE-PIRSON Jean est installée au n° 14 de la rue de la Centrale à Waremme.
En 1914, le concours général entre les Ecoles Moyennes du Pays est supprimé.
En 1914, les traitements au Collège Saint-Louis de Waremme sont de 1.200 francs par an pour le directeur, de 1.000 francs par an pour les professeurs laïcs de la section moyenne, de 800 francs par an pour les prêtres professeurs et de 800 francs par an pour les instituteurs.
En 1914, THYSSEN Gabriel est directeur de brasserie à Waremme. Il sera actif à la Croix-Rouge de Waremme.