En 1918, PONCELET Julien est cultivateur à Jeneffe.
Archives par mot-clé : 1918
Les morts de la première guerre (Jeneffe)
Les morts de Jeneffe pendant la Première Guerre Mondiale:
- BEX N.
- BORSU J.
- DENGIS G.
- DOYEN M.
- FRANCK F.
- GILSON F.
- HANON L.
- JEROME A.
- LEKANE P.
- LIBENS C.
- MALCHAIR D.
- MALCHAIR E.
- MARECHAL J.
- MASSART J.
- NOVILLE F.
- NOVILLE L.
- PIRON F.
- PUTZEYS A.
- RENKIN J.
- RENKIN P.
- THONON J.
- VAN LOUBBECK D.
Naissance de Charles Lambert (Waremme)
Le 10 mars 1918, LAMBERT Charles voit le jour à Waremme. Il perdra la vie dans le bombardement de la ville en août 1944.
Alphonsine Charlier, institutrice (Lamine)
Durant la Première Guerre Mondiale, CHARLIER Alphonsine, épouse PETITJEAN, est institutrice communale à Lamine.
La Ligue des Femmes Chrétiennes (Remicourt)
En octobre 1918, 68 femmes de Remicourt fondent la « Ligue des Femmes Chrétiennes ». Elle a pour but la formation religieuse et l’apostolat religieux.
Démolition de la morgue (Remicourt)
En (?), la morgue de Remicourt est démolie. Les plaques commémoratives, en l’honneur des citoyens du village morts pour la Patrie durant la Première Guerre Mondiale, qui y sont apposées, sont déplacées à l’arrière du Monument aux Morts.
Elles portent les noms de:
- BRONCKART Joseph
- DARTIENNE François
- DECHAMPS Joseph
- DELCOMMUNE Raymond
- HUTOIS Henri
- …
Mort de Catherine Maquet (Remicourt – France)
Le 23 novembre 1918, une messe d’Obsèques est célébrée en l’église de Remicourt pour le repose de l’âme de MAQUET Catherine, veuve ABRAHAM, réfugiée française d’Escaudoeuvres, décédée à l’âge de 71 ans.
Mort d’Angèle Scalbert (Remicourt – France)
Le 12 novembre 1918, une messe d’Obsèques est célébrée en l’église de Remicourt pour le repose de l’âme de SCALBERT Angèle, réfugiée française de Roubaix, décédée à l’âge de 25 ans.
Léon Renson, négociant (Remicourt)
En septembre 1918, RENSON Léon est négociant à Remicourt.
Des Français au cabaret Petitjean (Remicourt)
En (?), durant la Première Guerre Mondiale, le cabaret PETITJEAN, à Remicourt, accueille des soldats français. Ils y couchent sur de la paille, ce qui pose un sérieux problème d’hygiène.