Le 29 mars 1932, LHOEST Marcel voit le jour à Crisnée. Ses parents sont LHOEST Auguste et TIBO Catherine.
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Naissance de Louis Tombal (Crisnée)
Le 27 janvier 1932, TOMBAL Louis voit le jour à Crisnée. Ses parents sont TOMBAL Joseph et MARNEFFE Françoise.
Naissance d’Elisabeth Renotte (Crisnée)
Le 20 janvier 1932, RENOTTE Elisabeth voit le jour à Crisnée. Ses parents sont RENOTTE Remi et FLORKIN Dieudonnée. Elle épousera LAHAYE Gaston.
Rotation des inhumations (Crisnée)
Le 23 avril 1932, le conseil communal de Crisnée décide d’appliquer une rotation de 25 ans pour les inhumations dans le cimetière communal. (Cette mesure sera sans objet lors de l’agrandissement du cimetière).
Marie Hans, institutrice (Crisnée)
En 1932, HANS Marie est nommée institutrice à Crisnée.
Des pèlerins de Crisnée
Vers 1932, des habitants de Crisnée effectuent un pèlerinage à Montaigu:
- ERNES Marie-Josée
- FASTRE Marie
- GIROUL Joséphine, épouse MELET
- HANSOEL Victor
- HENRIX Bertine, épouse BURE
- KINDERMANS Maria, épouse RAYMACKERS
- MOUHA Fernand
- MOUHA Marie, épouse ERNES
- RAYMACKERS Célestin
- RAYMACKERS Joséphine, épouse MOUHA
- RENOTTE Nicolas
- SMOLDERS Maria, épouse HANSOEL
Mort de Joseph Louwet (Crisnée)
En 1932, LOUWET Joseph décède à Crisnée, à l’âge de 25 ans. Il a été paveur. Il était célibataire. Ses parents étaient LOUWET Joseph et WIJNANTS Elisabeth.
Description de la Tour-Colombier (Omal)
En 1932, le Bulletin de la Société d’Art et d’Histoire du Diocèse de Liège publie une description de la Tour-Colombier d’Omal.
» … Couvrant un rectangle de 7,28 mètres de large, sur une profondeur de 7,67 mètres, elle présente sa façade au N-E. Sa hauteur maximale est de 13 mètres.
Sur un soubassement en moellons de calcaire, haut de 2 mètres, au-dessus duquel court un cordon de même matière, s’élèvent les murs en briques se terminant, à la façade antérieure et à la partie postérieure en pignon dépassant le niveau du toit à deux versants, recouvert de tuiles.
Les murs latéraux ont été élevés avec une inclinaison visible à l’oeil, ce qui a eu pour résultat de leur conférer plus de résistance.
Les angles du bâtiment, du côté de la grand-route, sont garnis sur toute leur hauteur d’un chaînage en calcaire; les deux autres angles ne sont pourvus d’un chaînage analogue que sur leur moitié inférieure.
C’est de calcaire aussi que sont formés l’encadrement de la porte en plein cintre, ceux des fenêtres et les quatre meurtrières percées dans les murailles.
Les rampants des deux pignons montrent un dispositif très caractéristique: les joints des briques sont perpendiculaires à l’inclinaison de ces rampants.
De petits arcs de décharge , en briques, surmontent les linteaux des fenêtres, tandis qu’un double cintre, également en briques, suit la voussure en pierre de la porte.
Ces détails constructifs concourent à la parure de la maçonnerie et sont complétés par des ancrages décoratifs en fer, dont quatre dans le mur longeant la route, forment la date « 1625 ».
Dans la façade, est encastrée une dalle de calcaire portant les armoiries des époux MOLLIN et MENJOYE qui firent édifier le bâtiment.
La porte s’ouvre à une certaine hauteur dans le soubassement. Le seuil se trouve à 1m20 du sol (Le talus, supportant quelques blocs de grès en guise de marches qui y donnent accès, a été établi par après. A l’origine, on devait y parvenir par une sorte d’échelle que l’on pouvait retirer en cas de nécessité).
La porte est composée de planches garnies d’une petite moulure, clouées sur des barres. Ces planches ne sont pas d’égale largeur: les deux planches qui se trouvent au milieu mesurent 11 cm, tandis que de part et d’autre, sont des planches de 24 cm. Cette porte est pendue sur deux pentures en fer forgé, attachées vers l’intérieur. La pièce où elle débouche occupe toute la surface du bâtiment.
Le mur de refend (mur intérieur de séparation), qui s’y voit, a été élevé à une époque plus récente pour supporter les poutres du plafond, qui menaçaient de s’écrouler. Ces poutres, au nombre de quatre, sont posées sur angle, de manière à soutenir les voussettes en briques.
Au fond de la pièce, à l’opposite de la porte, le vaste manteau de cheminée porte sur des pilastres en briques, surmontés d’une tablette en calcaire. On a, postérieurement, éventré le contre-coeur de l’âtre, pour donner ouverture à la gueule d’un four qui a été construit en appendice.
A droite de la porte, un escalier à vis en bois, fort délabré, conduisait à l’étage et se se continuait jusqu’au grenier, dont le plancher s’est effondré et qu’éclairaient deux oculus en briques, aujourd’hui bouchés. Les murs à l’intérieur du dernier niveau sont percés de trente alvéoles pour protéger les pigeons.
Les deux autres pièces prenaient jour chacune par quatre petites fenêtres du type courant dans les constructions liégeoises de l’époque.
Les murs sont, au rez-de-chaussée, percés de quatre meurtrières, dont deux commandaient la grand-route et deux le chemin latéral. Leur présence et le fait que la porte n’était point directement accessible, de même que l’existence aux fenêtres de barreaux de fer garnis de pointes, de volets (qui ont d’ailleurs disparus), donnent à penser que cette construction constituait un refuge établi en vue de résister à un coup de main.
Au cours des guerres du XVIIe siècle, les villageois devaient pouvoir se protéger contre les tentatives de bandes de maraudeurs ou de pillards, soldats licenciés ou mal payés, malandrins en tout genre, que les armées traînaient à leur suite. Le bâtiment se présente sous l’aspect d’une petite forteresse destinée à être utilisée lors du passage de ces bandits. … »
La ferme Lange-Lecocq (Omal)
En 1932, la ferme de LANGE-LECOCQ Lambert est installée à Omal, sur la route menant à Hollogne-sur-Geer.
La liste catholique pour les élections communales (Waremme)
En septembre 1932, la liste électorale catholique (n° 1), pour les prochaines élections communales à Waremme, se présente comme suit:
- BEAUDUIN
- CLAES
- LECLOUX Lucien
- RENARD
- JEGHERS
- STAS
- HANLET
- MOTTET
- RENIER Victor
- SERVAIS
- MOËS