Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, des prisonniers de guerre d’Oreye sont:
En 1940, HERTEN Joseph, natif d’Oreye, fait partie de l’intendance à l’Armée Belge et est donc considéré comme non-combattant. Il pourra donc rejoindre sa famille, à Oreye, dès le 10 juin 1940.
En 1940, à la Capitulation de la Belgique, LIBIOUL Henri, d’Oreye, est emmené en captivité au Stalag de Nuremberg. Il y restera jusqu’à la fin de la guerre.
En 1940, RIGO Octave, natif de Pousset, fait la « Campagne des 18 jours » comme agent de liaison. Il poste les plis et le courrier du commandant belge de la région d’Arendonck et de Herentals. A la Capitutation de la Belgique, il est fait prisonnier. Il sera ramené à Oreye en juin 1940.
Durant la Deuxième Guerre Mondiale, les habitants d’Oreye qui ont combattu:
Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, la queue d’une bombe volante allemande V1 atterrit dans la cour de la ferme de MARCHAL Théophile, à Oreye, occasionnant de nombreux dégâts à l’habitation. Les portes et les fenêtres volent en éclats. Mais il n’y a ni mort, ni blessé.
Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, une bombe volante V1 allemande explose dans la prairie MARCHAL, à Lens-sur-Geer et y laisse un cratère impressionnant.
Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, LEUNUS Irène, fille de l’instituteur d’Oreye, fait partie du Service de Renseignement, avec COLLARD Raymond, de Kemexhe.
En 1940, MOYSE Louis, de Lens-sur-Geer, est fait prisonnier par les Allemands et envoyé au camp de concentration de Nordhausen (Dora), où les Allemands construisent des bombes volantes V1. Son épouse est LEMESTRE Laure.
En 1940, le gendarme d’Oreye, BASTIN Charles est fait prisonnier par les Allemands et envoyé au camp de concentration de Nordhausen (Dora), où les Allemands construisent des bombes volantes V1.