En janvier 1940, MOËS François habite rue de la Porte de Liège, à Waremme. Il est voisin de l’agent commercial RENWART René.
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Célina Dodeur (Waremme)
En janvier 1940, DODEUR Célina habite rue de la Porte de Liège, à Waremme. Elle est voisine de l’agent commercial RENWART René.
La maison d’Adolphe Renwart (Waremme)
Le (?) 1940, lorsqu’il rentre dans sa maison de la rue de la Porte de Liège à Waremme, après avoir fui avec sa famille devant l’arrivée des Allemands, l’agent commercial RENWART Adolphe, constate que la porte d’entrée a été fracturée, que le linge et tous les objets de valeur ont été emportés.
Adolphe Renwart, agent commercial (Waremme)
En janvier 1940, RENWART Adolphe est agent commercial, à Waremme. Il habite rue de la Porte de Liège.
Les denrées coloniales « Lombart » (Waremme)
En janvier 1940, LOMBART (?) est marchand de denrées coloniales, rue Stanislas Fleussu à Waremme. Il vend du café, du riz, de la farine, du sucre, du sel, …
La maison et la boutique de la famille Lombart (Waremme – Allemagne)
Le (?) 1940, lorsqu’ils rentrent dans leur maison de la rue Stanislas Fleussu à Waremme, après avoir fui devant l’arrivée des Allemands, les « LOMBART » constatent que leur habitation et leur boutique ont été cambriolées: sucre, café, farine, riz, sel, vêtements, chaussures, vaisselle, …, tout a disparu.
La famille « Lombart » (Waremme)
En janvier 1940, la famille LOMBART habite rue Stanislas Fleussu, à Waremme.
Théophile Engelen (Waremme)
En janvier 1940, ENGELEN Théophile habite rue de Mouhin, à Waremme. Il est voisin de STREIGNAERTS Roland.
La maison de Roland Streignaerts (Waremme – Allemagne)
Le (?) 1940, lorsqu’il rentre dans sa maison de la rue de Mouhin, à Waremme, après s’être échappé d’une colonne de prisonniers près de Saint-Trond, STREIGNAERTS Roland constate que les portes de sa maison ont été fracturées et les fenêtres brisées. Les armoires sont grandes ouvertes, les tiroirs sortis des meubles. L’argenterie, les ustensiles de ménage, le linge, les outils, le contenu de sa cave à vins, … tout a disparu. Il estime son préjudice à plus de 20.000 francs.
Un voisin lui dira que les Allemands ont passé quelques nuits dans la maison et que des réfugiés s’y sont reposés.
La maison de Gilbert Botty (Waremme – Allemagne)
Le (?), au retour de son exil en France, BOTTY Gilbert constate que sa maison a été saccagée et que des biens ont été volés, pour un montant qu’il estime à plus de 3.000 francs. Il en veut au bourgmestre, à l’administration communale de Waremme et à son délégué, le courtier en grains de l’avenue des Tilleuls (qui deviendra plus tard l’avenue Guillaume Joachim), PAQUAY Emmanuel, d’avoir introduit illicitement les Allemands dans sa demeure.