Le 14 décembre 1941, SMEETS Philippe voit le jour à Remicourt. Il épousera LAURENT Louise. Il habitera à Waremme. Il sera inspecteur de police à Waremme et président de la section régionale de la Fédération Francophone pour la promotion des Handicapés.
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Jules Dengis, résistant (Haneffe)
Entre 1941 et 1944, DENGIS Jules, natif de Haneffe, est membre de l’Armée Secrète.
Il obtiendra la médaille de guerre avec palmes.
Naissance de Louis Warnotte (Waremme – Juprelle)
Le 17 décembre 1941, WARNOTTE Louis voit le jour à Juprelle. Il sera libraire à l’avenue Edmond Leburton à Waremme.
Mort de Cyprien Fayasse (Waremme – Liège)
Le 13 septembre 1941, décède à Liège le Chanoine FAYASSE Cyprien, directeur des œuvres sociales de l’arrondissement de Waremme.
D’autres soeurs à la Clinique Notre-Dame (Waremme – Lubbeek)
En 1941, les soeurs Dominicaines de Lubbeek remplacent les Filles de la Croix à la Clinique Notre-Dame de Waremme.
Henry Willems aux Moteurs Moës (Waremme)
En 1941, WILLEMS Henry est engagé à la société « Moteurs Moës » de Waremme.
Durant l’occupation, de jeunes Waremmiens « patinent »
Durant l’hiver 1941, un groupe de jeunes Waremmiens se retrouvent sur la prairie « Moes », transformée en patinoire, dans le quartier du Fond d’Or à Waremme:
- DEGENEFFE Désiré
- BOURMANNE André
- BARTHELEMY Constant
- PETITJEAN Louis
- BRITTE Marie
- PIRON Ghislaine
- JACOB Emile
- ROUA Raymond
- HENROTEAUX Willy
- MARNEFFE Georges
- PIRLET Charly
- …
Portrait de Joseph Kinet (Waremme)
En 1941, portrait de Joseph KINET
KINET Joseph n’a qu’une idée : s’engager dans la R.A.F.
Il est né à Lantremange en 1908. Son père, entrepreneur de travaux publics, était le bourgmestre de Lamine. Ses deux premières années d’études terminées, il a comme précepteur l’instituteur PETITJEAN Hector, de Remicourt, qui lui donne des leçons particulières. Ses études secondaires, il les fait à Saint-Roch, puis à Saint-Louis à Waremme.
Cet homme étonnant doit sa vocation à CHARLIER Léon, un enfant de Lamine, un de ceux de l’époque héroïque de l’aviation.
Entré dans la carrière, il est de la 51ème promotion.
Employé au secrétariat général des Finances, il est dénoncé et est arrêté au début de l’année 1941.
Les moissons sont particulièrement faibles (Waremme)
Fin août 1941, les moissons sont calamiteuses en Hesbaye.
De mémoire d’homme, on n’a jamais vu une telle affliction, à cause des pluies persistantes de ces dernières semaines. Les grains versés commencent à germer. Les gerbes restées aux champs verdissent comme herbe des prés. Les avoines sont en général couchées ou bien leur tige est cassée à mi-hauteur.
Ajoutez à cela le maraudage. Le Ciel serait-il courroucé ?
Les terribles épreuves du monde paysan, comme celles du temps des guerres de LOUIS XIV, recommenceraient-elles ? Heureusement, les agriculteurs ne perdent pas courage.
Des troupes d’occupation quittent la région (Waremme – Bettincourt)
Au début mai 1941, leur instruction terminée, des troupes d’occupation quittent la région de Waremme.
Ces troupes allemandes sont venues s’entraîner dans la région de Waremme. On s’est habitué à leurs manœuvres, depuis l’automne 1940. Vêtues de salopettes blanches, de jeunes recrues encadrées, logeaient chez l’habitant, marchaient au pas tous les jours, creusaient des trous, tendaient du barbelé, coupaient des fils, …
Leur stand de tir se trouvait au Bois de Horne à Bettincourt.
Les cavaliers et les fantassins pratiquaient leur culte, catholique ou protestant, à l’église paroissiale. Toutes les semaines, ils assistaient à des projections de films de guerre réalistes, afin de les aguerrir. Certains s’évanouissaient pendant la séance …
Après d’énormes réquisitions en fourrage, foin, paille, ils partent en train pour la Pologne et l’URSS. L’embarquement prend plusieurs jours. Les plus beaux chevaux de trait, ainsi que des bovidés ont été requisitionnés en grande quantité.