En 1942, EVRARD Fernand est instituteur à l’école communale de Bleret.
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Une fête pour aider les prisonniers (Waremme)
En 1942, une grande fancy-fair est organisée dans le vaste parc du château de Selys-Longchamps, par RENSON René, pour financer l’envoi de colis aux prisonniers de guerre waremmiens, secourus par le service social waremmien.
A cette occasion, l’Orangerie du château est transformée en « bodega » où se produisent des artistes amateurs. BERGER Léon et GONNE Ninie y chantent une sélection d’opérettes.
Réquisition de la paille et du fourrage (Waremme – Allemagne)
En 1942, les produits agricoles, paille et fourrage, réquisitionnés par les Allemands, sont amenés à la gare de Waremme, par charrette tirée par des chevaux ou des bœufs.
Sortie du film « Casablanca » (Etats-Unis)
Le « Jazz Club Waremmien » (Waremme)
En 1942, il y a à Waremme un orchestre appelé « Jazz Club Waremmien ».
Le « Coeur d’Or » s’embrase (Waremme)
En 1942, le café « Au Cœur d’Or » de Waremme, qui est aussi le local du parti libéral, est complètement détruit par un incendie, alors que son propriétaire, VANHERCK Victor, est prisonnier des Allemands.
Le café disposait d’une salle dans laquelle furent présentés de nombreux spectacles, des bals, des combats de lutte, …
Emile Brose, résistant (Waremme – Huy)
En 1942, la Résistance s’organise. BROSE Emile est responsable d’un service de sécurité du Front de l’Indépendance, qui englobe Huy – Waremme – Andenne. Il s’agit de surveiller ses propres camarades résistants, car leurs confidences imprudentes peuvent être dangereuses pour toute l’organisation.
« Les Amis Réunis » de Waremme
En 1942, la société d’anciens combattants de Waremme « Les Amis Réunis » a pour président RENSON R. et pour secrétaire CLOOTS G..
Guitry écrit « N’écoutez pas Mesdames » (France)
« Les Joyeuses » de Waremme
En 1942, quelques dames de Waremme ont l’idée de mettre sur pied un mouvement qui organise des loisirs pour les filles (le pendant du Patronage Saint-Materne, réservé aux garçons).
Chaque dimanche, dès 13 heures, les jeunes filles peuvent désormais se rassembler dans les locaux de l’école primaire de l’Institut des Filles de la Croix. Leur mouvement s’appelle « Les Joyeuses ».