Le 18 mai 1943, LEJEUNE Virginie-Marie-Thérèse-Ghislaine voit le jour à Oleye. Ses parents sont LEJEUNE Joseph-François-Lambert et CLAESEN Stéphanie-Hubertine. Elle épousera VAN MOL Georges-Eloi.
Le 21 octobre 1943, MERCIER Louis décède à Fize-le-Marsal, à l’âge de 80 ans. Sa veuve est GENOT Thérèse. Il était membre de la Confraternité du Tiers-Ordre de Saint-François et du Rosaire Perpétuel.
En mai 1943, une commission pour la sauvegarde des cloches est instituée en Belgique, au sein du Ministère de l’Instruction Publique.
En 2011, il y a une rue Cyrille Jacquemin à Darion.
Alors qu’il récoltait des vivres pour ses amis Résistants, JACQUEMIN Cyrille a été dénoncé à l’ennemi et a été arrêté dans la région de Verviers. Il a été incarcéré deux mois à la Citadelle de Liège et a été fusillé en novembre 1943, avec 6 camarades.
Le 30 novembre 1943, à l’aube, JACQUEMIN Cyrille, qui a été dénoncé à l’ennemi et a été arrêté dans la région de Verviers alors qu’il récoltait des vivres pour ses amis Résistants, est fusillé à la Citadelle de Liège, après y avoir été incarcéré pendant 2 mois. Il est âgé de 23 ans. Il est originaire de Geer.
Une place portera son nom à Geer et une rue à Darion.
En 2011, il y a une place Cyrille Jacquemin à Geer.
Alors qu’il récoltait des vivres pour ses amis Résistants, JACQUEMIN Cyrille a été dénoncé à l’ennemi et a été arrêté dans la région de Verviers. Il a été incarcéré deux mois à la Citadelle de Liège et a été fusillé en novembre 1943, avec 6 camarades.
En 1943, Fédération Nationale des Prisonniers de Guerre (FNPG) crée le Service Médical Fédéral, qui fonctionnera à Bruxelles avec le concours de médecins (Résistants pour la plupart). Ces médecins procèderont à certains examens, conseillant, guidant et assurant la défense des prisonniers de guerre ou de leur veuve devant les commissions de pension, tout en prodiguant des soins à des clandestins.
En 1943, l’aide matérielle aux prisonniers et à leur famille par la Fédération Nationale des Prisonniers de Guerre (FNPG) est évaluée à 6 millions de francs.
Vers 1943 (?), à court d’un tas de choses, les Allemands promulguent une ordonnance visant la réquisition des longs caleçons, à Waremme. L’échevin requis déclare que les Waremmiens n’ont pas de caleçons à livrer, en baissant son pantalon et en disant: « Est-ce que je porte un caleçon, moi … ! »
En 1943, Monsieur SMAL est arrêté par les Allemands et est provisoirement remplacé au Service de Ravitaillement de Remicourt par SAENEN Charles.