En 1950, le lieutenant BERTRAND Jean est nommé commandant du district de gendarmerie de Waremme. Il remplace à ce poste le sous-lieutenant GERARD Georges.
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Léon Mottet, percepteur (Waremme)
En 1950, MOTTET Léon est nommé percepteur des Postes à Waremme. Il succède à YANS Paul.
Georges Leburton à Bruxelles (Waremme)
En 1950, LEBURTON Georges, frère du bourgmestre de Waremme LEBURTON Edmond, quitte Waremme et s’installe à Bruxelles.
Edouard Darmont, président (Waremme)
En 1950, DARMONT Edouard est nommé président de l’Union Waremmienne. Il succède à LEBURTON Georges, frère du bourgmestre de Waremme, qui s’est installé à Bruxelles.
Un club de basket-ball (Waremme)
En 1950, quelques anciens élèves de l’Athénée Royal de Waremme fondent un club de basket-ball.
De nouveaux portraits à l’Hôtel de Ville (Waremme)
Le 27 janvier 1950, les portraits de 5 personnalités waremmiennes sont ajoutés à ceux qui ornent déjà la salle des Séances de l’Hôtel de Ville de Waremme:
- DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, homme de science réputé, président du sénat, conseiller communal pendant 58 ans.
- STIERNET Hubert, écrivain, membre de l’Académie Royale de Langue et de Littérature française.
- RENIER Gustave, pionnier de la lutte anti-escavagiste en Afrique, tombé au champ d’honneur en 1914.
- WAUTERS Joseph, homme d’Etat
- JOACHIM Guillaume, sénateur, bourgmestre de Waremme de 1914 à 1947.
La ville en Cassation (Waremme – Belgique)
Le 11 août 1950, la ville de Waremme se pourvoit en Cassation de l’arrêt de la Cour d’Appel de Liège la condamnant dans le cadre de l' »Affaire Doyen ».
La Ville condamnée (Waremme – Liège – Allemagne – Etats-Unis)
Le 8 juin 1950, la Cour d’Appel de Liège condamne la ville de Waremme à payer 5.510.262 francs de dommages et intérêts à DOYEN Camille, en réparations des dommages causés par la population à la fin de la Première Guerre Mondiale.
La moitié de cette somme représente les intérêts depuis 1932, date à laquelle le Tribunal des Dommages de Guerre a débouté la famille DOYEN.
Devant la Cour, les « DOYEN » ont invoqué un décret du 10 Vendémiaire de l’An IV (le 2 octobre 1795) qui règle la police dans les communes. Ce décret stipule qu’en cas d’émeutes et de dommages, les autorités communales sont tenues pour responsables et doivent payer les dégâts occasionnés. DOYEN Camille a ajouté que le bourgmestre faisant-fonction, JOACHIM Guillaume, n’a rien fait pour protéger ses établissements de la vengeance populaire.
La ville de Waremme, quant à elle, a déclaré que la gendarmerie n’était pas encore rétablie et que, par conséquent, il lui a été impossible de maintenir l’ordre. De plus, elle a insisté sur le fait que la population a été excitée par les soldats alliés présents. Or, ce même décret de 1795 prévoit que, si les émeutes ont été provoquées par des membres extérieures à la « communauté villageoise », les autorités communales sont dispensées de dédommager les victimes.
Des collations pour les pensionnés (Waremme)
En 1950, des collations sont régulièrement offertes aux pensionnés waremmiens, au château « Roberti », à la Porte de Liège.
Un Centre de Réadaptation (Waremme)
Le 8 août 1950, un Centre de Réadaptation professionnelle, pour les ouvriers au chômage, est ouvert à Waremme.
Sa mission est de permettre aux chômeurs de se réinsérer sur le marché de l’emploi, en leur donnant la possibilité de perfectionner leur formation initiale ou en d’apprendre un nouveau métier.