Briqueterie temporaire à Jeneffe

Le 29 février 1950, MARTIN Marcel introduit une demande d’autorisation d’établissement d’une briqueterie temporaire rue Lavaulx à Jeneffe.

Madame Renkin (Jeneffe)

Vers 1950 (?), Madame RENKIN travaille à la ferme DANS à Jeneffe.

Tombe romaine à Omal

En (?), (vers 1950 ?), DESTEXHE, de Saint-Georges, découvre une tombe romaine à Omal, le long de la route qui se rend à Momalle. Il s’agit probablement de la tombe d’une jeune femme. Elle contient un miroir en argent poli, une boîte en bronze contenant un caillou pour appliquer le « rouge à lèvre ».

Destexhe fouille à Omal

En 1950, DESTEXHE, de Saint-Georges, procède à des fouilles à Omal. Il localise les vestiges d’un vaste centre belgo-romain, que l’on  peut dater du 2ème et 3ème siècle PCN, dans les environs immédiats de la chaussée romaine, près de « L’Arbre à la Croix »,

Destexhe fouille à Jeneffe

En 1950, DESTEXHE (?), de Saint-Georges, poursuit les fouilles archéologiques des fonds de cabanes néolithiques découverts dans des champs, au début du siècle, aux lieux-dits « La Vaulx », « Derrière-la-Vaulx » et « Au Long Rêna », à Jeneffe.

Inauguration de la maison de cure de Sainte-Ode (Belgique)

Le 1er juin 1950, le Ministre REY Jean inaugure officiellement la Maison de Cure de Sainte-Ode, pour anciens prisonniers de guerre et anciens prisonniers politiques, qu’il a subsidiée.

La maison de cure de Sainte-Ode (Belgique)

Le 20 février 1950, la maison de cure de Sainte-Ode est déclarée « Etablissement d’Utilité Publique ». Elle est créée pour permettre aux anciens prisonniers de guerre et anciens prisonniers politiques, dont l’état de santé l’exige, de faire une cure sous surveillance médicale, soit préventivement soit en convalescence d’une maladie (et notamment après la sortie d’un sana)

Mort de Jules Lambert (Liège – Oleye)

Le 17 mars 1950, LAMBERT Jules, natif de Oleye, décède à Liège. Il a épousé FRANCIS Madeleine en premières noces et SOIRON Maggy en secondes noces. Il était licencié en sciences commerciales et consulaires. Il était officier de réserve. Il était Chevalier de l’Ordre de la Couronne.

Création d’une place publique (Remicourt)

Le 5 septembre 1950, le conseil communal de Remicourt décide de créer une place publique en face de la Maison Communale et de déplacer le Monument (aux Morts ?).

Jules Pirotte, remplacé (Remicourt)

Le 1er avril 1950, le receveur communal de Remicourt, PIROTTE Jules, est remplacé par le receveur régional, Monsieur DANS.