Droit de place pour les auto-scooters (Remicourt)

En 1954, les autorités communales de Remicourt concèdent un « droit de place », à un exploitant d’auto-scooters, pour les années 1955, 1956 et 1957.

La redevance est fixée à 2.500 francs par an et par fête.

Le cinéma Le Lucky (Remicourt)

En 1956, le cinéma « Le Lucky » est installé dans la salle DELISSE, à Remicourt.

Démission d’Hector Petitjean (Remicourt)

Le 1er septembre 1956, PETITJEAN Hector démissionne de ses fonctions d’instituteur en chef de l’école de Remicourt. L’école du soir pour adulte est supprimée.

Un hiver très rigoureux (hesbaye)

En 1956, l’hiver est particulièrement rigoureux en Hesbaye. Il y a 29 jours de gel consécutifs. C’est l’hiver le plus exceptionnel depuis 1833.

Ben Rio à l’Athénée (Waremme)

Le 18 février 1956, la troupe théâtrale « Ben Rio » donne un spectacle en la salle des fêtes de l’Athénée Royal de Waremme.

Les Paramours à l’arrêt (Waremme)

Vers 1956, la mort prématurée de LARUELLE Paul, l’un des fondateurs de la troupe théâtrale « Les Paramours », de Waremme, va interrompre l’activité de celle-ci, deux ans seulement après sa création.

Le cortège du carnaval va renaître (Waremme)

Le 28 novembre 1956, le Comité des Fêtes de Waremme se réunit une seconde fois sur le projet de ressusciter le cortège du carnaval dans la ville, l’année suivante.

Création du caméra club (Waremme)

En septembre 1956, le « Caméra Club Waremmien » est créé dans la capitale hesbignonne. Le président en est CRANINX Lucien.

Ce club a pour but de procurer un délassement à ses membres, en les perfectionnant dans la technique du cinéma amateur, d’offrir des conseils, d’organiser des réunions de libre discussion, mais aussi de faire une critique constructive des productions des membres.

Les réunions se tiendront un fois par mois, le lundi soir, à l’hôtel « Laval ».

Réouverture du Métropole (Waremme)

Le 10 mai 1956, le cinéma « Le Métropole » de Waremme annonce sa grande réouverture après transformation, avec la projection d’un premier grand film en cinémascope, sur un nouvel écran « Brockliss – Simplex ».

Le cinéma possède un garage pouvant accueillir une centaine de vélos. Ce service coûte 2 francs.