Des courses hippiques à Waremme

Depuis la fin du 19ème siècle, jusqu’au début des années 30, des courses hippiques se déroulent chaque année dans une vaste prairie appartenant au Baron DE LAFONTAINE, située, d’une part, entre les actuelles rue Gustave Renier et avenue Emile Vandervelde et, d’autre part, entre la rue Ernest Malvoz et l’avenue Guillaume Joachim.

Ces courses, dotées de 2.000 francs de prix, acquièrent une renommée certaine. Des tribunes abritent les « élégantes » de Waremme. La compétition s’agrémente d’un concours d’attelages et d’un défilé d’automobiles.

Anne-Marie Stiernet, épicière (Waremme)

A la fin du 19ème siècle, STIERNET Anne-Marie, épouse GOVAERTS, cousine de l’écrivain waremmien, STIERNET Hubert, exploite une petite épicerie dans la dernière maison de la rue du Pont à Waremme (qui deviendra plus tard la rue Hubert Stiernet), séparée de l’ancien corps de garde par un jardinet.

Les bûcherons et scieurs en long Mahiels (Petit-Axhe)

Avant 1900, les frères MAHIELS Walther et MAHIELS Léopold de Petit-Axhe exercent le métier de bûcherons et de scieurs de long en hiver. L’été, ils travaillent à la moisson.

Florent Flaba, brasseur (Waremme)

Dans la seconde moitié du 19ème siècle, FLABA Florent exploite une brasserie à l’angle des rues qui deviendront plus tard la rue des Combattants et la rue Hallet à Waremme.

Jules Lejeune agrandit sa demeure (Waremme)

Au 19ème siècle, le député-bourgmestre LEJEUNE Jules fait agrandir la maison « Lejeune – D’Anglure » (qui s’appellera plus tard « Maison Réard »).

Le forgeron Lhoest (Waremme)

Au début du 19ème siècle, la famille LHOEST exploite une forge à l’angle de la rue de Huy  (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters) et de la rue du Baloir à Waremme.

L’artisanat à Waremme

Au début du 19ème siècle, beaucoup d’outils et d’objets nécessaires au bon déroulement de la vie à la ferme et dans les familles, sont fabriqués à Waremme et dans les villages avoisinants. Beaucoup d’artisans travaillent à domicile, dans leur petit atelier.