Portrait de Léon Mangon, artiste waremmien

MANGON Léon

MANGON Léon est né le 19 mai 1929.

En 2009, MANGON Léon vient tout juste de fêter ses quatre-vingts printemps. L’occasion d’évoquer avec lui un parcours artistique peu banal. Entre autres talents, le Waremmien s’est découvert un don caché de ventriloque…

C’est le 19 mai 1929 que le petit MANGON Léon voyait le jour, à Berloz, dans la maison de ses grands-parents. On dirait presque qu’il s’en souvient…  » Je n’avais que sept mois lorsque je suis venu au monde, explique-t-il. Ma mère se demandait ce qu’il se passait. Elle a donc quitté Waremme à pied pour rallier Berloz et rejoindre ma grand-mère. C’est là qu’elle a accouché. Comme j’étais très prématuré, mes parents m’ont placé dans une boîte à chaussures remplie d’ouate. J’ai ainsi passé mes premières semaines de vie sur la tablette de la cheminée…  » Dès l’âge de neuf ans, MANGON Léon aime épater la galerie. Ses premiers numéros, il les réalise devant les copains de classe.

 » J’inventais des tours de prestidigitation pour les amuser, et ils étaient toujours très surpris, se rappelle-t-il. Puis je me suis mis à faire le pitre avec mon vélo. J’arrivais à faire n’importe quoi, cela amusait aussi énormément mes camarades. Il faut dire que mon père était marchand de vélos…  » De fil en aiguille, le jeune Waremmien perfectionne ses tours d’adresse.  » Lorsque j’avais vingt ans, je me suis associé avec un ami, poursuit-il. C’était le frère de mon ex-femme, et nous avons monté un numéro d’acrobatie à vélo. Notre groupe portait le nom de « Warlis », car nous étions wallons et que nous provenions de Waremme. Nous avons fait cela durant quinze ans, du début des années 1950 jusqu’en 1967. Nous avons notamment accompagné BREL Jacques dans ses tournées. Nous jouions notre numéro au début de ses spectacles. Nous avons arrêté cette activité commune lorsque la différence de poids est devenue trop importante entre mon compagnon de scène et moi-même. Cela devenait trop dangereux, nous risquions chaque fois de nous casser la figure.  » Par la suite, MANGON Léon continue seul son petit bonhomme de chemin. D’abord comme illusionniste, puis comme ventriloque.  » J’étais ventriloque sans le savoir, sourit-il. Mon personnage est Toto, un petit garçon sympa, le commun des mortels. Ici, c’est ma troisième poupée. Elle m’a été offerte par des voisins qui l’on ramenée d’Espagne. Depuis une vingtaine d’années, je lui fait raconter toute sorte de conneries. Pour la fête des voisins, ce dernier mardi à Waremme, je lui ai fait chanter un air de circonstance. Si tous les gars du monde voulaient se donner la main… J’ai arrêté mes activités, mais je suis venu gracieusement, juste pour faire plaisir à mes voisins qui m’avaient demandé si je ne pouvais pas leur préparer quelque chose.  »

Sa poupée fétiche s’appelle Toto.

La Commission d’Histoire et de Littérature de la ville de Waremme

En décembre 2009, le conseil d’administration de la Commission d’Histoire et de Littérature de la ville Waremme est composé de:

  • LAMBERT Jacques (président)
  • HAECK Jules (vice-président)
  • DUPAIN René (secrétaire)
  • JAMOULLE Louis (trésorier)
  • BRUYNINX Guillaume
  • LOMBART Simonne
  • DOCQUIER Cyrille
  • LODEWIJCKX Constant
  • LONCELLE Pierre
  • LONGREE Georgette
  • MOES Alphonse
  • PAQUAY Jean
  • PETITJEAN Guillaume
  • RENSON Marie-Chantal
  • VANDAMME Robert
  • VASSAUX Georges

Portrait de Eric de Kesel, directeur général de la S.A. « Molnlycke Health Care » (Waremme)

DE KESEL EricNé le 1er octobre 1965 à Charleroi, il a suivi des Humanités Générales à l’Athénée Royal de Beaumont. Il est ensuite diplômé ingénieur civil en électromécanique à l’université libre de Bruxelles. Il suit une licence spéciale en management à la HEC Saint-Louis. Il est marié et père de trois filles.

Dès l’entame de sa carrière, DE KESEL Eric a fait montre d’aptitude à gérer « l’humain ». Ainsi, à 23 ans, fraichement diplômé, il prend la tête d’une équipe de trente personnes au sein de la société Caterpillar. Un travail de nuit qu’il accomplit sur le site de Gosselies tout en suivant des cours en management à Bruxelles. Après quelques mois rythmiquement denses, il intègre l’un des bureaux d’études de la célèbre firme américaine. Les années se succèdent, nourries par des voyages fréquents aux Etats-Unis et au Japon. En 1995, il accède à la direction du bureau. Il n’a que 30 ans…

En 1997, DE KESEL Eric est approché par une société gembloutoise active dans le domaine du plastique. « Elle était alors déficitaire et l’on souhaitait m’en confier la gestion. Le challenge m’a plu. Tout le monde m’a dit que j’étais fou de quitter « Caterpillar ». Je n’ai pourtant jamais regretté mon choix ». Après cinq années au cours desquelles il remet l’entreprise sur rail, DE KESEL Eric décide d’emprunter un autre chemin : « Dans un travail, deux critères sont pour moi prépondérants : to have fun and challenge. Ce n’était simplement plus le cas… » _En 2002, il intègre « Mölnlycke » : «En répondant à une annonce, le plus simplement du monde (rires). La coordination du site de Waremme m’a été confiée. Mon bureau principal se trouve cependant à Göteborg. » Conjointement à ses engagements au sein de « Mölnlycke », DE KESEL Eric assume les fonctions d’administrateur de l’UWE et de Consul honoraire de Suède. « Une reconnaissance qui m’honore mais que je n’ai pas acceptée pour le titre. » _Son temps libre, DE KESEL Eric le consacre à sa famille. « Je m’adonne également à la pratique de certains sports et à la dégustation de vin. Le village dont je suis originaire a compté deux meilleurs sommeliers de Belgique. La terre y est sans doute propice aux amateurs de grands crus… »

Parler de coup de force serait vaniteux. Or, je veille à toujours travailler dans la modestie de la tâche, à rester humble quel que soit le succès. Deux évènements encourus depuis mon engagement chez « Mölnlycke » pourraient, toutefois, partiellement répondre à votre question. Ainsi, il y a une dizaine d’années, l’entreprise a consenti de gros investissements au niveau de ses machines. Lors de mon arrivée, en 2002, ce matériel ne fonctionnait pas de manière optimale. Fidèle à l’adage « Work smarter, not harder », nous avons décidé de solutionner cette problématique en nous faisant aider par des consultants américains. Résultat, nos machines atteignent aujourd’hui des performances de classe mondiale ! Mais la technique n’est pas tout. Dans notre démarche, nous avons veillé à ne pas négliger le capital humain. Nous avons établi un programme de formation pour l’ensemble du personnel ouvrier. Une remise à niveau générale qui a été accompagnée d’une augmentation salariale…

Le second évènement a eu lieu l’an dernier. Nous avons rencontré à cette époque notre plus gros fournisseur de matières premières. A force de persuasion, nous sommes parvenus à négocier un contrat incluant un système d’indexation. Concrètement, les prix pratiqués par notre fournisseur varient désormais en fonction de certains indicateurs tels que le coût de l’énergie par exemple. Il va sans dire qu’avec la chute du prix du pétrole rencontrée au cours des derniers mois, nous avons fait une affaire en or ! Nos coûts ont été réduits de près de 20%. Au mieux, nous tablions sur une baisse de 6%. Imaginez, cela représente plusieurs millions d’euros d’économie… Evidemment, nous ne sommes pas à l’abri d’une augmentation mais ce qui est pris est pris.

Pour ces deux situations, nous pouvons parler de coups de force…mais en douceur.

Plutôt que coup de génie, je préfère parler de bonnes décisions et de comportements opportuns. On pourrait appeler cela des coups de génie en longueur (rires). L’un d’eux est d’avoir misé sur le capital humain. Collaborant notamment avec la Thaïlande, la Tchéquie, le Japon et les Etats-Unis, je suis amené à manager des équipes culturellement très différentes. Cela n’a pas été simple mais j’ai toujours eu la capacité de m’adapter à chacune. J’ai également l’aptitude de me remettre en permanence en question. Je n’aime pas tomber dans la complaisance. Dès que j’ai franchi une étape, je pense à la suivante. Dans un monde de concurrence accrue, c’est obligatoire. Heureusement, je fais preuve d’un optimisme à toute épreuve. J’essaie de le communiquer à mes collaborateurs par cette petite phrase : « Voyez l’objectif final et pas les obstacles ! »

Je ne suis pas enclin à entrer facilement en colère mais certains comportements ont le don de me faire monter dans les tours. Ainsi, je ne supporte pas que l’on fasse valoir, avant le reste, son intérêt personnel. Parallèlement, ceux qui lors de réunions usent de leur position hiérarchique pour faire entendre leur opinion m’exaspèrent. Je rechigne également face à l’absence de prise de décision. Les Suédois, plus encore que les Belges, sont les rois du compromis ! Résultat, il n’est pas rare que nous tournions longuement en rond avant d’entreprendre…

Croyez-moi, la vie m’a appris qu’il valait mieux prendre une mauvaise décision que pas de décision. Enfin, le manque d’ambition affiché par certains me hérisse. Je n’entends pas par là qu’il faille être carriériste. Je veux simplement dire qu’au cours de sa vie professionnelle, il faut pouvoir sortir de sa zone de confort et oser se jeter dans la tempête pour progresser.

L’intégrité est mon leitmotiv. Je vous défie d’ailleurs de trouver quelqu’un qui pourra dire le contraire. Attention, je ne lave pas plus blanc que blanc (rires). Je joue parfois avec la ligne blanche, mais je ne la franchis jamais ! On peut donc parler de coups délicats mais pas tordus. Si je me sens bien au sein de cette entreprise, c’est en grande partie parce que les valeurs qu’elle affiche, dont l’intégrité, me correspondent.

Outre ses fonctions de directeur général de la S.A. « Molnlycke Health Care », il est également administrateur de « l’Union Wallonne des Entreprises » et de « Wallonie Entreprendre ».

Portrait de Sonia Daralas, alias Soluan. (Waremme)

DARALAS Sonia

« Nourris ton âme de rêves, car ce sont les rêves qui nous permettent d’avancer. Nourris ton cœur d’espoir, car c’est l’espoir qui nourrit nos rêves pour nous permettre d’avancer » (Soluan)__C’est cette phrase qui m’a aidée jusqu’à présent à tenir le coup et qui me donne le courage et la force, jour après jour d’avancer. Mais avant une petite présentation s’impose histoire de faire un peu connaissance. Je suis d’origine grecque, née à Paris, mon père vient d’une longue lignée d’artistes, auteur composteur et interprète, il a connu son heure de gloire en Grèce et parmi la communauté grecque du monde entier. Il est décédé en 1977. Son nom (pour les grecs qui sont de passage sur ce blog) est Loukas Daralas, de sa première union est né Giorgos Dalaras artiste très connu en Grèce, (il suffit de voir sur you tube le nombre de titres et de pages qui lui sont consacrés). Nous avons par le métier de mon père beaucoup voyagé et, jusqu’à la mort de celui-ci, ma vie se résumait aux voyages et au découverte de nouveaux horizons. Bien qu’il m’arrivait de pousser la chansonnette avec mon père, c’est l’écriture qui m’a très tôt attirée. La mythologie grecque fut une de mes grandes passions dans ma jeunesse et je m’amusais à mettre certaines légendes à ma sauce. C’est donc tout naturellement que l’envie de raconter une histoire vint me titiller ; c’est suite à la perte de mon emploi que je me décidais enfin d’écrire car, jusqu’à alors je n’avais guère eue le temps de me consacrer comme il se devait à ma passion première, prise par le tourbillon de la vie et ses tourments, j’avais laissé de coté mes propres désirs. La perte de mon emploi me donna donc le prétexte et l’occasion de changer radicalement d’orientation, me disant qu’il n’y a pas d’âge pour réaliser ses rêves. Voici donc le résumé de mon premier roman qui vient d’être publié. Un récit moderne et dans l’air du temps qui fait la part belle aux romantiques (avoués ou non) que nous sommes.

Le Comité de « L’Ensemble Instrumental Waremmien » (Waremme)

En janvier 2009, le Comité de « L’Ensemble Instrumental Waremmien » est composé de:

  • DEGRANGE Benoit, président
  • BROOZE Michel, trésorier
  • ROBYNS Michel, secrétaire
  • LAMBERT Francis, chef d’orchestre.

Les auteurs du vol avec prise d’otage à Waremme en 2009 sont condamnés

Le 30 janvier 2012, les agresseurs de la station-service « Lukoil » de Waremme, le 6 juillet 2009, qui avaient pris l’employée, Edwige, en otage, sont condamnés à 12 et 15 ans d’emprisonnement par le Tribunal Correctionnel de Liège. Ce sont deux Sérésiens, prénommés Rémi et Stéphane. Ils avaient commis plusieurs attaques entre le 30 juin et le 6 juillet 2009. A l’époque des faits, l’employée kidnapée était enceinte de 7 mois.

Sortie du film « Percy Jackson: le Voleur de Foudre » (Etats-Unis)

percy jackson le voleur de foudre affiche

percy jackson le voleur de foudre affiche

En 2009, le cinéaste américain, COLOMBUS Chris, réalise le film fantastique « Percy Jackson : le Voleur de Foudre ».

Les acteurs principaux sont:

  • LERMAN Logan
  • JACKSON Brandon T.
  • DADDARIO Alexandra
  • BROSNAN Pierce
chris colombus

chris colombus

logan lerman

logan lerman

brandon t jackson

brandon t jackson

alexandra daddario

alexandra daddario

pierce brosnan

pierce brosnan

Distributeur automatique de maillots à la piscine de Waremme

En 2009, un distributeur automatique de maillots est installé à la piscine communale de Waremme, par la société française « Topsec – Equipement », qui verse une redevance de 1.700 euros par an au Centre Sportif.

Sortie du film « Gainsbourg, une vie héroïque » (France)

gainsbourg une vie héroïque affiche

gainsbourg une vie héroïque affiche

En 2009, le cinéaste français, SFAR Joann, réalise le film « Gainsbourg, une vie héroïque ».

Les acteurs principaux sont:

  • ELMOSNINO Eric
  • GORDON Lucy
  • CASTA Laetitia
  • MOUGLALIS Anna
joann sfar

joann sfar

eric elmosnino

eric elmosnino

lucy gordon

lucy gordon

laetitia casta

laetitia casta

anna mouglalis

anna mouglalis

La piscine de Waremme

En 2009, les dimensions de la piscine communale de Waremme, située rue des Prés, sont de 25 mètres sur 12,5 mètres. Le bassin d’apprentissage, quant à lui mesure 12,5 mètres sur 10 mètres.