La SPRL « Fabelec » de Waremme

Le 1er mars 2011, le Tribunal de Commerce de Liège entame une procédure de réorganisation judiciaire de la SPRL « Fabelec », entreprise d’électricité, dont le siège d’exploitation se situe au n° 68 – 70 de la rue du Fonds d’Or à Waremme. Le gérant de la société est MASSIN Fabrice, de Faimes.

La SPRL « Network Cabling Solutions » de Waremme

Le 1er février 2011, la SPRL « Network Cabling Solutions », entreprise de câblage,  est installée au n° 38 au Fonds Râce à Waremme. Le gérant de la société est VRANKEN Hubert.

Le Jardin d’Istanbul (Waremme)

Le 29 juin 2011, ALTUNTAS Birol est le gérant de la SPRL « General Meeting Organisation », qui exploite le restaurant « Jardin d’Istanbul », au n° 32 de l’avenue Reine Astrid à Waremme.

La S.A. « Brico Saint Eloi » (Waremme – Hacourt)

Le 4 juin 2011, la S.A. « Brico Invest », représentée par VANVINCKENROYE Maryse de Hacourt, est confirmée administrateur-délégué de la S.A. « Brico Saint Eloi », entreprise de bricolage, dont le siège est situé au n° 62 de la rue Saint-Eloi à Waremme.

La S.A. « Hub To You » (Waremme – Faimes)

Le 30 novembre 2011, HAMBLENNE Pierre de Faimes est administrateur-délégué de la S.A. « Hub To You », entreprise de conseil information, dont le siège est situé au n° 6 de l’avenue Edmond Leburton à Waremme.

Nouvelle administratrice au Home Waremmien (Waremme)

carine mazy

carine mazy

Le 28 juin 2011, MAZY Carine-Joséphine est nommée déléguée de la Ville de Waremme au Conseil d’Administration de la SCRL « Le Home Waremmien », en remplacement de LIBOTTE Joëlle, décédée le 9 mai 2011.

La Directrice-gérante de la Société est WILLEM Isabelle et le Président est COEME Guy.

Joëlle libotte

Joëlle libotte

La SCPRL « De Laminne de Bex – Jadin, Notaires Associés » (Waremme)

En 2011, l’étude est située au n° 6 de l’avenue Edmond Leburton à Waremme. Elle s’est installée dans l’ancienne Maison Réard.

Elle est composée de :

  • DE LAMINNE DE BEX Olivier, notaire
  • JADIN Catherine, notaire
  • HENQUET Anne, licenciée en droit et notariat
  • HOUARD Marie, licenciée en droit et notariat
  • DEBATY Barbara, collaboratrice notariale
  • MATHY Josée, collaboratrice notariale
  • NEUFORGE Catherine, collaboratrice notariale
  • VERHOEVEN Xavier, collaborateur notarial
  • LE MAIRE Micheline, collaboratrice notariale
  • HAMBLENNE Pierre, responsable immobilier
  • PEDUZY Manon, stagiaire
  • DUBUISSON Lionel, stagiaire.

Portrait du peintre Waremmien Patrick Haugen (Waremme)

HAUGEN Patrick

Le peintre waremmien peint père Noël dans tout l’arrondissement Huy-Waremme

Durant encore une quinzaine de jours, HAUGEN Patrick (46 ans) sillonnera les commerces de l’arrondissement pour y décorer les vitrines aux couleurs des fêtes de fin d’année. Armé de ses pinceaux, l’artiste hesbignon réalise de petites merveilles pour un budget très raisonnable. Rencontre.

Adolescent, HAUGEN Patrick reproduit déjà des pochettes de disques, pour le plaisir.  » Je ne comprenais pas comment les autres n’y parvenaient pas, tant cela me paraissait évident « , se souvient-il. Le jeune Waremmien effectue ensuite des humanités artistiques, puis des études supérieures au sein de la section peinture de Saint-Luc à Liège.

Et voilà une vingtaine d’années qu’il vit, ou parfois survit, de cette passion ancrée au plus profond de lui-même.

Depuis début novembre, la saison des décorations de vitrines est ouverte pour Patrick. Cafétéria de la piscine de Huy, friterie de Wasseiges, café des supporters du Standard à Oreye, commerces divers à Waremme… L’artiste travaille tous azimuts.  » Cette période de l’année est pour moi davantage alimentaire « , explique-t-il.

 » Dessiner des pères Noël, des fées et des étoiles, bien que je maîtrise parfaitement la technique, ce n’est pas ma tasse de thé. Mais cela me permet d’engendrer quelques rentrées financières.  »

À voir la qualité des réalisations de l’artiste, on le taxerait bien de fausse modestie! Dans le bistrot waremmien  » La Brasserie « , avenue Reine Astrid, HAUGEN Patrick a réalisé une véritable œuvre d’art dont tout le monde parle.  » J’ai repris  » le Repas de noces  » de Breughel, interprété à ma manière et adapté au 21e siècle « , commente le Waremmien.  » Les personnages de l’époque ont été remplacés par le patron de l’établissement, sa femme, son fils et quelques clients. Je suis un peu frustré quand certains clients pensent que certaines parties ont été imprimées, alors que tout a été peint de ma propre main…  »

Plus ludiques, certaines décorations de vitrines traitent de l’actualité politique. L’été dernier, HAUGEN Patrick a mis en scène Bart De Wever et Elio Di Ripo sur la devanture d’une boulangerie de Waremme.  » De Wever n’est pas vraiment un ami « , sourit-il.  » Je l’ai représenté sur la plage, avec un regard fuyant, un cocktail de jus de Wallon et la pelle du fossoyeur à la main. Di Rupo, je l’ai fait très maigre, avec son nœud papillon. On voit aussi passer la tête de Reynders qui demande désespérément que les autres lui laissent une toute petite place… « 

Portrait de Emilio Lopez Menchero, créateur de la statue de « L’Homme Bulle » (Waremme)

emilio lopez menchero

emilio lopez menchero

Quelques commentaires inscrits sur l’Homme Bulle, dans le cadre de « Aux Arts Etc », alors que la sculpture campait à Waremme, non loin de l’Hôtel de Ville :

« Rien qu’un homme à la rue qui attend comme la cloche que quelqu’un d’autre lui dise pourquoi il est là ». « Cultures-tu ? ». « Porte-parole ouvert à tous ». « Veux-tu m’épouser ? ». « Super le Centre culturel de Waremme, l’équipe est géniale, les spectacles de qualité. Dommage que ces gens soient mal payés ! ». « On t’aime Papa ! ». « Sacré Jacky ! ». « Surtout ne pas se dégonfler ». « Tout le monde s’appelle Roger ».

Les Waremmiens, on le voit, s’en sont donné à cœur joie. Ils ont tagué à volonté la bulle de l’« Homme Bulle » de MENCHERO Emilio López. Ils l’ont même tatoué d’une grande marguerite, d’un monumental point d’interrogation, ont débordé sur son costume trois pièces, l’ont affublé de moustaches et ont redessiné ses yeux. « Bulle à savon, bulle à idées, attention ça glisse ». Bref, ils se l’ont approprié. Après avoir été installé à Bruxelles et avant de rallier Liège, l’ « Homme Bulle » était à Waremme, campant dos à l’hôtel de police et face à l’Hôtel de Ville.

Architecte de formation, MENCHERO Emilio López ne pratique pas, mais considère l’espace public et urbain comme un espace critique et y intervient régulièrement. Performances, installations, commandes publiques jalonnent son parcours. On le soupçonne de vouloir tatouer la Spanner Haus d’Adolf Loos. Très sévère par rapport à toutes les dérives que le « Crime et ornement »de l’architecte viennois a généré, il cite volontiers Hans Hollein et son Manifeste de 1968 : « Alles ist Architektur ». Tout est architecture, y compris la construction de soi. Ainsi, il habite la ville de Gand du cri de Tarzan, exporte, en guise de bancs publics, des frites géantes en Norvège, dessine une bâche de camion dont il mesure la capacité maximum à échelle humaine, constatant que deux cents individus, serrés en rangs d’oignons, pourraient y prendre place. À Ixelles, il reconfigure la friche de la place Flagey en « projet Potemkine », dressant, en quelques heures, une rue de toiles à la manière des faux villages prospères érigés par le favori de Catherine II en Ukraine. À Ath, il introduit un géant, Monsieur M, monsieur Moderne, au cœur de la procession des géants séculaires de la cité. On lui doit, bien sûr, « Pasionaria », ce porte-voix monumental installé à proximité de la gare du Midi à Bruxelles. Orientée vers la gare, ce lieu de confluence, référence à un épisode de la Guerre d’Espagne, « Pasionaria » matérialise la parole manifeste. Cette commande publique est dédiée à tous les migrants dans un lieu où se déroulent de régulières manifestations sociales et politiques.[i]

Monsieur Moderne, le géant d’Ath, ressemble à ces silhouettes anonymes esquissées par l’architecte théoricien Ernst Neufert, auteur des célèbres « Eléments des projets de construction », cette base méthodologique de la mesure de toute chose, de la norme et des prescriptions, publiée pour la première fois en 1936 à Berlin. Les silhouettes qui parsèment les croquis domestiques et vernaculaires de Neufert, traversent depuis longtemps déjà, les œuvres de MENCHERO Emilio López. L’ « Homme Bulle » leur ressemble aussi. Citadin en complet veston, il est, au même titre que le porte-voix bruxellois de la « Pasionaria », un espace relationnel. De sa bouche s’échappe un monumental phylactère. Bulle ronde, vide, immaculée, c’est une muette invitation. La sculpture n’est pas un objet à regarder, mais une situation à composer. L’œuvre est en quelque sorte inachevée et son achèvement plastique suppose que le spectateur y mette la dernière touche. Au stylo feutre, bien entendu, à la bombe aérosol. Rien n’est imposé, au contraire, c’est une situation ouverte, à l’état de passage, où l’intersubjectivité se révélera mécanisme de création, la nature processuelle de la réalisation faisant de l’œuvre un événement[ii]. Le graffiti, le tag, l’empreinte directe, sont autant de signes de la culture urbaine contemporaine ; ici, ils permettront de créer de l’« être ensemble ». Être ensemble, artiste et regardeur, être ensemble, grapheurs d’un jour, tagueurs d’occasion, rassemblés sur la bulle. Campé sur le trottoir, l’« Homme Bulle » est le porte-parole de la population. Il sollicite le passant, lui propose de s’évader de ce tout ce qui est conforme, prescrit, recommandé, correct ou anonyme pour un moment de libre expression.

Sandra Koch, policière à Waremme, tente de mettre fin à ses jours après avoir égorgé ses deux enfants

Pression insupportable, harcèlement professionnel, dépression… Plusieurs raisons, non officielles, pourraient expliquer le geste horrible de la policière KOCH Sandra. Elle a voulu mettre fin à ses jours après avoir égorgé ses deux jeunes enfants. L’autopsie de la petite fille doit avoir lieu ce week-end. Les jours de la maman et de son fils sont toujours en danger.

Pression insupportable, harcèlement professionnel, dépression… Plusieurs raisons, non officielles, pourraient expliquer le geste horrible de la policière KOCH Sandra. Elle a voulu mettre fin à ses jours après avoir égorgé ses deux jeunes enfants. L’autopsie de la petite fille doit avoir lieu ce week-end. Les jours de la maman et de son fils sont toujours en danger.

Déprimée et blessée

Depuis, la jeune femme aurait été soumise à des pressions, des services inconfortables, des missions peu valorisantes ou désagréables… Un véritable harcèlement selon notre source.  » Elle avait participé à un exercice de tir la semaine dernière. Elle semblait un peu déprimée, mais rien qui puisse annoncer ce drame « , ajoute notre source.

Et puis, il y a aussi cet accident de travail, survenu au printemps dernier. « Elle est restée en congé de maladie trop longtemps au goût du chef, indiquent des voisins du couple. Depuis, ses supérieurs la pressaient pour qu’elle revienne vite travailler. Mais elle avait des ligaments déchirés.  »

Bien sûr, toutes les personnes harcelées n’en arrivent pas à de pareilles extrémités, mais il s’agit peut-être d’un élément déclencheur. « Lorsqu’une personne pose un acte aussi irrationnel, il y a souvent plusieurs facteurs « , déclare un membre du collège de police.

Quoi qu’il en soit, vendredi après-midi, alors que son mari, pompier professionnel à l’aéroport de Zaventem, était au travail, la policière a emmené ses deux jeunes enfants dans les bois de Stoumont, sa région natale. Elle a appelé le 100 pour signaler sa folle intention.  » Elle n’avait pas son arme de service sur elle « , nous précise la procureur du Roi de Verviers, WILWERTH Christine.

À leur arrivée, les secours ont trouvé les deux enfants égorgés. Leur maman avait tenté de les immoler par le feu avant d’essayer de se suicider.

Emilie, la petite fille d’un an avait déjà succombé à ses blessures. L’autopsie, prévue ce week-end, devrait révéler les causes exactes du décès. Quant à Bastien, le petit garçon de 4 ans, et à la maman, leurs jours sont toujours en danger.  » Selon les médecins, il faudra plusieurs jours avant de savoir si le garçon survivra  » nous dit encore WILWERTH Christine.

Le papa sous le choc

DUTRANNOIS Vincent, le papa, est dans un état de détresse que l’on peut aisément comprendre. « Il est dans un tel état de douleur, indique un parent qui souhaite conserver l’anonymat. On imagine toujours que ça peut arriver à un autre, quand ça se produit dans notre famille… D’un côté, Vincent est perdu, sous le choc et de l’autre, il doit garder la tête haute pour Bastien, toujours dans une situation critique. «