Extension du zoning industriel de Waremme

Le 13 septembre 2011, le dossier est débloqué, l’extension va pouvoir se concrétiser le long de la chaussée Romaine

Il y a un an, le projet d’extension du zoning industriel de Waremme, lancé depuis plus d’une décennie, subissait un nouveau coup de frein. Souhaitant mieux valoriser le prix du mètre carré, les propriétaires des terres agricoles concernées avaient introduit un recours en annulation au conseil d’état. Mais après d’âpres négociations, un accord est intervenu et le recours retiré. Cette fois, ça y est, l’agrandissement va pouvoir se réaliser. Cette nouvelle zone sera opérationnelle pour 2014.

 » Ce jour est historique! Cela fait plus de dix ans qu’on l’attend. L’extension du zoning industriel de Waremme va enfin pouvoir se réaliser « , a lancé avec un large sourire Guy Coëme en présence des représentants de la SPI + et des agriculteurs propriétaires des terres concernées. Ces derniers qui, voici un an, avaient introduit un recours en annulation au conseil d’état car ils n’étaient pas satisfaits du prix d’achat de leurs 16 hectares de terres.

Il s’agissait là d’un nouveau coup de frein à l’aboutissement de ce dossier d’agrandissement du zoning sur un total de 43,6 hectares entre le village de Pousset et l’autoroute E40, le long de la chaussée Romaine.

Mais ces derniers mois, les différentes parties (Ville de Waremme, SPI, agriculteurs) se sont mises autour de la table et ont dégagé une solution.  » Elle est inédite pour nous « , a expliqué Julien Mestrez, le président de la SPI qui est aussi député provincial en charge de l’agriculture.  » Il s’agit d’une formule basée sur un échange de terrains plutôt que sur une expropriation classique avec indemnisation de l’exploitant, ce qui permet de prendre en compte un souci du monde agricole: la perte de terrains. La SPI a, en l’occurrence, saisi l’opportunité d’acquérir une exploitation qui était à vendre dans la commune voisine de Remicourt. Une partie des terrains ainsi achetés feront l’objet d’un échange, compensant la perte d’une partie des terrains qui accueilleront demain les entreprises. La SPI revendra par la suite les bâtiments de la ferme et le gîte qui fait partie de la propriété. Finalement, ma double casquette a été un plus dans ces négociations. Tout le monde y a trouvé son compte.  »

A présent, diverses procédures vont être enclenchées pour concrétiser l’extension: désignation d’un auteur de projet, reconnaissance de zone… puis une enquête publique sera ouverte dans un délai de 6 mois. Selon la SPI, les premiers travaux d’aménagement et d’équipements pourront débuter dans le courant de l’année 2013.

 » Les terrains seront à la vente pour 2014 « , a indiqué Françoise Lejeune, directrice de la SPI.  » Mais les aménagements peuvent être adaptés en fonction des souhaits des investisseurs s’ils se manifestent rapidement.  »

Au sein de cette extension qui va doubler la capacité totale du zoning de Waremme, des zones tampons, fossés drainants, bassins d’orages écologiques et espaces verts seront aménagés.

DEUX RONDS-POINTS

Par ailleurs, pour une question de sécurité, sur la chaussée Romaine, un rond-point sera prévu à hauteur de la rue de Pousset et un autre devant le garage Peugeot Hannay.  » C’est le plus gros dossier que nous avons débloqué ces dernières années « , s’est félicité Guy Coëme.  » C’est une bonne nouvelle pour Waremme mais aussi pour toute la Hesbaye. Les retombées vont être importantes. En matière d’emplois notamment. « 

Le retour de Jacques Chabot (Waremme)

CHABOT Jacques va effectuer son grand retour sur la scène politique communale waremmienne, six ans après s’être effacé. Il déclare:  » En 2006, j’ai respecté l’accord pris en 1996 selon lequel, primo, je présenterais Guy Coëme comme tête de liste s’il revenait en politique et, secundo, que chaque échevin retrouverait sa place sur cette même liste « ,  l’intéressé.

Après avoir bouclé son mandat de député fédéral, le Waremmien, licencié en sciences économiques et titulaire d’une maîtrise en administration des affaires, a retrouvé de l’embauche dans l’administration publique chargée des relations internationales Wallonie-Bruxelles (WBI).  » Je suis coordinateur de la délégation belge du comité des régions. Mon bureau est à Bruxelles. J’ai une magnifique vue sur la basilique de Koekelberg…  »

À 58 ans, ce père de sept enfants, qui a été bourgmestre de Waremme durant une décennie (de juillet 1996 à 2006), se réjouit de regoûter aux  » joies  » d’une campagne électorale.

 » Les choses sont très claires « , insiste-t-il. « Je suis heureux de revenir dans un esprit positif. Je coupe court aux rumeurs que certains ont colportées. Je ne suis absolument pas revanchard. J’ai été élu durant 30 ans. Comme conseiller communal, échevin, bourgmestre, conseiller provincial, député régional et fédéral, je n’imaginais pas finir ma carrière sans revenir en politique communale. En 2012, j’aurai 59 ans. J’espère être élu et au bout de la législature de 6 ans, j’atteindrai alors les 65 ans… Je pourrai à ce moment-là m’occuper de mes petits-enfants, avoir encore plus de biquettes et pourquoi pas, devenir président du Stade Waremmien »

 » Une bonne place  » sur la liste

CHABOT Jacques n’a pas perdu le sens de l’humour qui le caractérise. Il en use d’ailleurs de nouveau lorsqu’on lui demande à quelle place il figurera sur la liste PS.  » Ce n’est pas encore décidé mais j’espère une bonne place évidemment …  » Il reprend alors sur un ton sérieux:  » La liste complète sera établie durant le premier trimestre 2012 et elle sera officialisée le 1er mai. J’ai en tout cas la nostalgie du travail communal et du temps passé à l’hôtel de ville. J’ai eu le temps de réfléchir, j’ai certaines idées que j’espère pouvoir appliquer. Toujours avec le souci du bien-être de la population waremmienne. « 

Portrait de Gaëtan Englebert (Waremme – Saint-Trond)

ENGLEBERT Gaëtan

Né à Liège le 11 juin 1976, il habite Waremme et Coxyde. Il est marié et papa de deux petites filles, Emma (7 ans) et Noémie (4 ans). Depuis juillet 2011, il joue à Coxyde, club de D3A; il y a signé un contrat de 2 ans. Il occupe la place de médian régulateur.

Son parcours: il a été formé et découvert en D2 à Liège. Il a fait ses débuts en D1 à Saint-Trond et y a joué de 1997 à 1099. Il a ensuite joué neuf saisons au FC Bruges de 1999 à 2008, deux à Tours et une à Metz en Ligue 2 française. Il a joué 367 matches et a inscrit 29 buts en D1 belge.

Son palmarès: trois Coupes de Belgique, deux titres de champion de Belgique, deux Supercoupes avec Bruges. Neuf matches (21 sélections) en équipe nationale entre 2001 et 2007.

Portrait de Françoise Singer (Waremme)

SINGER Françoise

Françoise fait disparaître le stress de ses patients par le dessin, une forme d’expression spontanée.

C’est dans une petite maison ombragée, non loin du centre de Waremme, que SINGER Françoise reçoit ses patients. La première pièce est décorée de façon très sobre. Un buste de Bouddha trône sur une étagère et quelques sièges sont disposés autour du salon.

 » C’est ici que se déroulent les séances de sophrologie individuelle ou en groupe « , dit-elle. Car avant d’étudier l’art-thérapie, Françoise a suivi plusieurs formations en sophrologie. Elle est d’ailleurs membre d’une association européenne de sophrologues reconnus, ce qui la classe d’emblée dans la catégorie des thérapeutes sérieux.

 » Depuis que j’ai des souvenirs, je me rappelle avoir exprimé des choses à travers le dessin, la peinture ou le bricolage. Adolescente, je devais avoir 16 ans, je me suis découvert une vraie passion pour le bien-être. Pas une attirance vers un métier médical ou paramédical, mais quelque chose qui touche au ressenti, à l’âme des gens « .

Et cette passion ne l’a jamais quittée:  » Je sentais bien que j’avais un avenir dans ce domaine, mais j’ai suivi les conseils de mes parents et je me suis dirigée vers une carrière de chimiste en poursuivant des études à l’ISIL de Liège « .

En 1998 Françoise veut se donner une chance de changer d’orientation professionnelle. Elle débute des cours de sophrologie. Malheureusement, les formateurs ne s’entendent pas et la formation est annulée. Une douche froide pour Françoise.

Ce n’est qu’en 2004 qu’elle se donne une seconde chance. Ce sera la bonne. Elle recommencera des cours et les terminera sans encombres:

 » J’ai été diplômée en 2007 et dès que j’ai eu mon diplôme en poche je me suis lancée. Mes premiers patients étaient des étudiants qui ont suivi un atelier que je donnais pendant les grandes vacances2007. Ils étaient ravis et ont décidé de continuer l’expérience à raison d’une séance de groupe tous les mercredis « .

À partir de là, les affaires ont plutôt bien tourné. Et aujourd’hui, les patients se bousculent chez elle. À tel point qu’elle a décidé de leur apporter une nouvelle forme de thérapie:

 » Je suis des cours d’art-thérapie depuis 2008. Et je dois dire que j’adore ça. Pour mes patients, c’est un vrai plus. C’est une manière de leur offrir de s’exprimer non plus à travers des mots, mais à travers un travail artistique de peinture ou de modelage. En résumé, c’est l’art qui lutte contre le stress « .

SINGER Françoise pratique l’art-thérapie depuis 2008 à Waremme.

Portrait d’Etienne François, des Pompes Funêbre FRANCOIS (Waremme)

FRANCOIS Etienne (Pompes Funêbres)

FRANCOIS Étienne est responsable d’une entreprise de pompes funèbres depuis quinze ans. À 34 ans, il dirige trois funérariums près de Waremme, il apporte soutien et réconfort aux familles en deuil.

Mes parents dirigeaient une société familiale qui se partageait entre deux activités, la menuiserie, d’une part, et une entreprise de pompes funèbres. Cette dernière fut montée par mon grand-père, déjà menuisier, à l’époque où il fabriquait des cercueils. Afin de rejoindre l’affaire familiale, j’ai commencé un parcours scolaire qui devait me mener à la reprise de la menuiserie. Humanités en sciences économiques à Waremme, trois années en menuiserie à Liège et un graduat en génie civil et conducteur de travaux. Le chemin était tracé pour qu’à la sortie de l’école je rejoigne l’équipe familiale à la direction de la menuiserie, mes parents s’occupant des pompes funèbres. Mais c’est l’inverse qui s’est produit. Dès que j’ai eu mon diplôme d’humanités en poche, j’ai été actif au sein des deux activités pour me familiariser avec le contexte de travail. Mais, à la surprise de tous, j’ai rapidement préféré le contact avec les familles. J’aime l’idée de leur apporter une part de réconfort, de les aider dans les différentes démarches administratives pour qu’elles puissent se consacrer au souvenir de l’être disparu.

C’est un métier où il faut montrer beaucoup d’empathie, mais en même temps une certaine dose de détachement. « C’est un équilibre très subtil qu’il faut trouver pour apporter notre soutien aux familles, explique Étienne. Approcher la tristesse des familles au quotidien n’est pas toujours facile. Mais l’entrepreneur de pompes funèbres est souvent le premier contact réconfortant que les proches ont avec la réalité. « Les personnes qui font appel à nous savent que nous allons veiller sur leur défunt avec le plus grand respect, dans la continuité des traditions religieuses ou laïques qui sont les leurs. À ce stade du deuil, chaque détail est important et nous veillons à ce que tout se déroule de manière douce et feutrée. La famille ne doit se soucier de rien dans l’organisation des funérailles, notre entreprise s’occupe de tout. De la cérémonie à la réception après funérailles en passant par les démarches officielles ou le transfert du défunt en nos murs ou à la maison mortuaire« .

« Il y a des moments difficiles dans notre métier. La tristesse et l’émotion font partie de mon quotidien, c’est pourquoi je dressé une frontière très stricte entre mes activités professionnelles et ma vie privée. Mon plus grand souhait est de permettre aux familles de vivre leur deuil dans la dignité en organisant toujours un service d’une qualité irréprochable ».

Étienne est un homme curieux et pragmatique. Pour développer l’offre des services qu’il peut offrir aux familles qui lui font confiance, il n’hésite pas à voyager loin. « L’année dernière, je suis allé au Salon funéraire de La Nouvelle-Orléans. J’ai pu me faire une idée des dernières tendances en matière de services funéraires. J’en ai aussi profité pour m’informer sur les nouveaux corbillards en vue d’un achat. Aux États-Unis, les choses se passent différemment, il y a d’autres coutumes, d’autres manières de faire. J’ai visité plusieurs entreprises de confrères américains. J’en ai ramené le sens du détail et la volonté de rendre chaque cérémonie plus solennelle pour que les familles aient le sentiment d’accompagner le dernier voyage de leur proche défunt dans les meilleures conditions.

La mission humanitaire « Visa pour le Togo » est très critiquée (Waremme)

Depuis plusieurs semaines, le dossier agite la vie politique waremmienne. Le projet humanitaire au Togo (15.000€, dont 2/3 de subsides communaux), auquel une quinzaine de jeunes de l’entité ont participé, soulève des questions. Et secoue des partis visiblement entrés en campagne 2012.

Pour rappel, bref, l’ASBL  » Défis  » (Guy Coëme est membre de l’assemblée générale), à l’origine de ce voyage, est critiquée car les quatre projets qui devaient être concrétisés durant le séjour ne l’ont été que partiellement. Si tout s’était déroulé comme prévu, les jeunes auraient dû assurer de la remédiation scolaire auprès de jeunes Togolais, aménager des étagères et amener des livres à une bibliothèque locale, construire une porcherie et un puits méthanier.

 » confiance trompée  »

Mais lorsque les jeunes Waremmiens et les deux coordinateurs de  » Visa pour le Togo « , Jean Pol Pirlet et sa femme, sont arrivés sur place, rien ne s’est passé tout à fait comme prévu.  » Un homme prénommé Aristide (Togolais d’origine) est entré en contact avec nous à Waremme afin de nous proposer son aide pour ce séjour humanitaire. Son ASBL  » Adomeh « , n’était pas une ONG reconnue, mais il affirmait connaître la région et avoir mené à bien plusieurs projets comme le nôtre. Nous lui avons donné toute notre confiance et il est venu présenter son projet d’organisation du séjour aux parents ainsi qu’aux autorités. Tout semblait parfait. Mais lorsque nous sommes arrivés sur place, on était loin du compte « , explique Jean Pol Pirlet.  » On nous avait montré une villa dans laquelle nous dormirions et nous n’avons pas eu cette habitation lorsque nous étions sur place. Elle n’avait ni moustiquaires, ni climatisation, ni frigo… De plus, le matériel que nous avions envoyé par container était bloqué au port de Lomé et  » Adomeh « , qui

devait s’en charger, n’en a rien fait! Donc tout notre matériel (brouettes, pelles, planches en bois…) était immobilisé, inaccessible.  » Adomeh  » ne l’a débloqué que le jour de notre départ. Même sans le matériel, nous avons réussi à faire avancer certains projets. Celui de remédiation scolaire a été une réussite. Nous avons aussi élevé les murs de la porcherie jusqu’à 1m20 mais le reste, par manque de matériel, n’a pas pu être commencé…  »

Pourquoi  » Visa pour le Togo  » avait-il choisi une ONG non reconnue? Réponse de Jean-Pol Pirlet:  » J’ai placé toute ma confiance en Aristide, en toute bonne foi.  »

Mauvaise pioche, visiblement.

Pour le bourgmestre Guy Coëme, la polémique est close.

Pour tout le monde?

Portrait de Jérôme Goffau, pompier volontaire à Waremme

GOFFAU Jérome, Pompier Volontaire de Waremme (?)

Avec déjà cinq années d’expérience derrière lui, GOFFAU Jérôme, est pompier volontaire à Waremme. Il apprécie le poste d’ambulancier pour son rôle social. Son ambition, devenir pompier professionnel.

C’est une sensibilisation aux métiers du feu, dispensée dans son école, l’Athénée royal de Waremme, alors qu’il était encore en secondaire, qui a incité le jeune GOFFAU Jérôme, 20 ans, à intégrer l’Ecole des Cadets des pompiers de Waremme, puis à devenir pompier volontaire dans sa ville de Waremme. Son but ultime, devenir professionnel dans un métier auquel il voue une grande passion et se spécialiser au maximum dans les métiers qui touchent le paramédical-ambulancier.

« J’avais 15 ans et les pompiers de Waremme passaient dans les écoles pour recruter les premiers cadets pompiers de la ville. La passion de notre interlocuteur m’avait marqué. Je me suis renseigné sur le métier. En me questionnant, je me suis dit que c’était peut-être quelque chose pour moi. J’ai franchi le pas et je me suis inscrit comme cadet-pompier. Une décision qui a changé ma vie et que je ne regrette pas« , raconte le jeune Waremmien.

Une fois ses trois ans terminés chez les cadets, Jérôme, qui avait 18 ans à l’époque, a eu la chance qu’une session de recrutement s’ouvre dans la caserne hesbignonne. Il s’est entraîné pour réussir les tests physiques, son profil et sa motivation correspondaient aux besoins de la caserne. C’est ainsi qu’il a été recruté.

« Dès que j’ai été affecté à la caserne, j’ai commencé par suivre les cours de l’école du feu de la Province de Liège. Après 7 mois de formation, ce furent les premières sorties et la confirmation de ma vocation, si elle devait encore être confirmée. Ensuite, j’ai eu les cours d’ambulancier. Et là, j’ai vraiment trouvé ma place. Le métier d’ambulancier est très motivant, c’est un travail où l’on est plus proche des gens, avec un véritable rôle social à jouer. Une dimension que j’apprécie tout particulièrement, explique le volontaire. Mais Jérôme avoue quand même rester quelquefois sur sa faim. « Lors des sorties en ambulance, on accompagne des personnes en détresse, on les aide, on apprend très brièvement à les connaître. Une fois qu’on les a transférées à l’hôpital, on ne sait plus rien d’elles. C’est parfois un peu frustrant. Mais peut-être est-ce mieux que ce soit comme cela. Cela nous aide à rester professionnels en toutes circonstances, sans nous poser de questions« .

Jérôme est aussi très fier de son travail de pompier au feu. « Mais c’est différent de l’ambulance. Sur un incendie, on s’attaque aux flammes, on essaie de limiter les dégâts, on sauve aussi des vies, mais on est plus loin des gens, le côté social est bien plus ténu« , dit-il.

L’école des cadets m’a aidé à réussir mes études

En intégrant l’école des cadets-pompiers, chaque jeune doit signer un contrat qui stipule que cet engagement n’interférera pas sur ses résultats scolaires. Il est même prévu que les étudiants présentent leurs notes à leurs moniteurs. « En ce qui me concerne, cela a été une motivation supplémentaire pour terminer mes études secondaires avec honneur. Il ne m’a pas fallu longtemps pour découvrir que la profession de pompier était faite pour moi. Pas question de rater un entraînement, ni de me faire mettre dehors parce que j’avais de mauvais résultats scolaires. C’est la raison pour laquelle j’ai redoublé d’efforts à l’école , raconte GOFFAU Jérôme. « C’est aussi le cas pour la plupart des jeunes très motivés que l’on reçoit à l’Ecole des Cadets, confirme BAEKE Sébastien, l’un des instructeurs.

Nouvelle rue pour accéder à l’E 40 (Waremme – Bettincourt)

En 2012, le projet d’une nouvelle rue vise à soulager le trafic rue de Mouhin à Bettincourt, qui ne sera accessible qu’aux seuls services techniques

Après plusieurs années de pourparlers, entre la ville et le MET, va-t-on enfin arriver à un accord et régler une fois pour toutes l’accès autoroutier par l’aire de repos Sud à Bettincourt (côté TGV)? Hier, Jacques Dehalu, l’administrateur-délégué de la Sofico, l’organisme public chargé des aires d’autoroute, nous disait ceci.  » Un projet est en bonne voie, tout le monde est enfin d’accord « . Par  » tout le monde « , il entend: ville de Waremme, SPW (ex-Met), Sofico et station Total. Car, comme on le lira par ailleurs, le projet ne satisfait qu’à moitié les riverains. 1 Le projet:sortie bis, nouvelle route et rond-point. Ce projet prévoit de faire de Bettincourt une sortie officielle d’autoroute (une sortie bis), dans le seul sens Bruxelles-Liège et cela, par l’aire de repos qui comprend une station Total, un resto et un magasin. Pour éviter que les navetteurs n’empruntent encore la voirie technique et la rue de Mouhin (pour sortir de l’aire de repos), le projet prévoit de créer une nouvelle voirie, en parallèle, dans un pré actuellement bordé d’arbres et appartenant, en partie, à la Région wallonne. Un rond-point serait aménagé sur l’aire de repos afin d’assurer la fluidité du trafic entre ceux qui sortent de l’autoroute (via le pont au-dessus du TGV) et ceux qui arrivent sur l’aire de repos par la nouvelle voirie. Les travaux, non encore budgétisés, seront financés par la Sofico. 2 L’intérêt pour la Sofico? Faire vivre l’aire de repos. Les uns et les autres n’ont pas tous les mêmes intérêts dans ce projet. La Sofico déclare:  » Ces aménagements dynamiseront l’aire de repos et apporteront une clientèle supplémentaire à la station. Les gens de Waremme et environs pourront aussi y faire leurs achats « . Il est vrai que, cachée par le mur du TGV, la station est peu visible de l’autoroute. Ce nouvel accès lui permettrait de séduire d’autres clients, issus de la  » circulation locale « . 3 L’intérêt pour Waremme? Désengorger le centre.  » Ce projet, c’est un peu mon idée, nous dit le bourgmestre Guy Coëme. Il fallait maintenir un accès autoroutier par Bettincourt, sans quoi, c’était des centaines et des centaines de voitures et de camions qui allaient traverser nos vieilles rues du centre-ville. Ce projet solutionnerait tous les problèmes: aussi bien l’engorgement du centre que le trafice pour les navetteurs que pour les riverains. Actuellement, tout le monde emprunte la rue de Mouhin alors qu’elle est en principe réservée aux services techniques. Mais c’est une tolérance de ma part, en attendant la création de cette nouvelle voirie. Hélas, elle ne sera pas pour tout de suite… « . Au Nord, on ne change rien. Au sud, on crée une nouvelle route (rouge) pour épargner la rue de Mouhin.

L’Académie de Musique de Waremme

En 2011, le Conseil d’administration de l’Académie de Musique de Waremme est composé de :

– MIGNOLET Vincent (président) – LONGRIE José (vice-président) – DESIR Luc (secrétaire) – CHABOT Jacques – CROMMEN Marie-Hélène – DEGRANGE Benoit – DOLHEN Jacques – FRERES Lindsay – GILLON Myriam – GRANDJEAN François – HAYEN Edith – MASSET Robert – MOOR Robert.

Le Personnel Administratif de l’Académie de Musique de Waremme est composé de :

– LECOCQ Claire (directrice) – BINET Marie-José (directrice-adjointe) – PETRISSE Fabienne (directrice-adjointe) – PAQUOT Nathalie (assistante administrative) – LAMBERT Philippe (assistant administratif) – DE MAERE Isabelle (surveillante-éducatrice) – PLANCQUEEL Mélanie (assistante administrative).

L’Equipe Pédagogique de l’Académie de Musique de Waremme est composée de :

– BAPTISTE Geoffrey (accompagnement) – BASTIN Philippe (accompagnement, piano jazz et banjo) – BERNARD Pierre (flûte traversière) – BINET Marie-José (formation musicale) – BOUHON André (piano et accompagnement) – DEFRESNE Paula (piano) – DELBRASSINE Alain (éveil musical) – DELACROIX Cécile (formation musicale) – EMSHEIMER Sonia (violon) – FASTRE Joseph (formation musicale, trompette) – FRANKINET Marc (ensemble jazz, trompette) – HUBY Nathalie (violon, ensemble instrumental et musique de chambre) – KOCH Martine (histoire de la musique) – LECLERCQ Françoise (art dramatique, déclamation et atelier théâtre) – PIRLET Pierre (guitare électrique) – LOGEN Régine (saxophone, ensemble de saxophones et chant jazz) – MALPAS Olivier (formation musicale et chant d’ensemble) – MARNEFFE Hélène (guitare) – PALIZEUL Alain (trombone, tuba et ensemble de cuivres) – PETRISSE Fabienne (chant et chœurs) – PIETTE Wendy (éloquence, déclamation et atelier-théâtre) – PREUDHOMME Philippe (piano et écriture musicale) – SAUVENIERE Joëlle (orgue et piano) – SCURGERS Gabrielle (déclamation et éloquence) – SLUCHIN Primor (harpe) – STASSART Jacques (éveil musical, formation musicale, percussions et ensemble variété) – THOREAU Mireille (guitare et ensemble de guitares) – VAN ASS Myriam (danse classique et danse jazz) – VAN DAMME Bernadette (rythmique et expression corporelle) – VAN ERUM Thierry (clarinette) – VENIEN Fabienne (violoncelle).

La Bibliothèque Libre de Hesbaye (Waremme)

En 2011, 2.631 personnes ont emprunté au moins un livre à la Bibliothèque Libre de Hesbaye et 213 personnes ont fréquenté régulièrement son « Espace Public Numérique ». La Bibliothèque, créée en 1912, est installée au n° 36 de la rue Monjoie à Waremme. Elle propose environ 120.000 documents.